Comment manger une raclette de la manière la plus saine possible ?

Comment manger une raclette de la manière la plus saine possible ?

Comment manger une raclette de la manière la plus saine possible ?

Comment manger une raclette de la manière la plus saine possible ? 9 conseils La raclette est l’un des plats classiques de l’automne et de l’hiver. Si l’on ne vous conseille bien entendu pas d’en abuser, voici nos astuces pour en manger intelligemment !

On pourrait vous dire de ne pas manger de raclette. Après tout, avec sa charcuterie (jambon cru, rosette, salami), son fromage (que ce soit de la Raclette, du Morbier, du Reblochon ou une Tomme de chèvre ou de brebis), ses pommes de terre (qui sont un féculent, et non un légume), ce plat présente de nombreuses contre-indications : beaucoup de graisse et de sel, pas de légumes.

Pour autant, pour de nombreux gourmands, la raclette reste un plat convivial très apprécié de l’hiver. Voyons plutôt comment manger de la raclette de la manière la plus saine possible, pour des raclettes tout autant délicieuses !

Pendant la raclette

La première série de conseils porte sur le « pendant » de la « raclette party ».

1. Associer légumes et féculents

Si le fromage fondu s’étale classiquement sur des pommes de terre (pour une raclette traditionnelle), il est tout à fait possible de varier les plaisirs, et d’en profiter pour y intégrer des légumes ! Les fibres des légumes faciliteront le transit et donc la digestion.

Ainsi, mettez de la couleur dans votre assiette avec des accompagnements variés : carottes, brocolis, fenouil, endives, champignons… Avec ces variantes, vos convives seront surpris : bonne dégustation !

2. Choisir des viandes maigres

Toujours dans l’objectif de limiter les apports en graisses, faites le choix de viandes maigres : tranches de jambon blanc, viande des Grisons (du bœuf), speck, bresaola, rôti de porc, aiguillettes de poulet… Avec de la variété et de l’originalité, vos papilles seront ravies.

3. Terminer le repas par une salade et des fruits

En finissant le repas par une salade verte (celle que vous voulez : chicorée, frisée, mâche, pousses d’épinards, batavia, feuille de chêne, laitue…) et des fruits, vous continuez à apporter des fibres à votre organisme. Avec les agrumes, vous ferez notamment le plein de vitamine C !

4. Bien s’hydrater

Un repas « raclette » est aussi une grande source de sel. Bref, si vous ne buvez pas correctement, vous allez avoir soif !

Ainsi, ayez toujours un verre d’eau. Si vous avez peur de ne pas boire suffisamment d’eau ainsi, buvez au moins un verre d’eau entre deux verres d’une autre boisson. C’est particulièrement important si vous buvez du vin blanc, qui n’hydrate pas et apporte beaucoup de sucres.

5. Être raisonnable sur les quantités

Pour rappel, il n’est pas nécessaire de manger plus en hiver. Pour votre raclettemangez des quantités raisonnables (que ce soit pour la charcuterie, pour les pommes de terre ou le fromage). Votre corps vous dira merci !

Pour manger moins de fromage, prévoyez des tranches de fromage fines, et limitez les quantités par convive. Les abus ne seront ainsi pas possibles.

L’après-repas : une étape clé pour que la raclette ne pèse pas !

La deuxième série d’astuces concerne le lendemain de la raclette.

6. Démarrer la journée du lendemain avec un jus de citron

Commencez votre journée du lendemain avec un jus de citron à jeun (comme dans nos conseils pour votre détox du printemps), pour stimuler le foie et les organes du système digestif.

7. Poursuivre avec un petit déjeuner riche en fibres

Au petit déjeuner, consommez du pain complet ainsi que des fruits entiers afin là encore de booster la digestion.

8. Bien s’hydrater

Écho au 4ème conseil donné plus haut, l’hydratation le lendemain de la raclette est elle aussi très importante. Ceci permet de réhydrater l’organisme, tout en évacuant les toxines accumulées la veille.

9. Bouger

Un minimum d’exercice physique est à prévoir. Le fait de bouger aidera le foie à fonctionner correctement. Faites de la marche rapide par exemple.

Source : Herbalife Nutriion

Recettes de légumes d’automne rôtis

Recettes de légumes d’automne rôtis

Recettes de légumes d’automne rôtis

Recettes de légumes d’automne rôtis. L’arrivée de l’automne s’accompagne de fruits et légumes différents. C’est la pleine saison des pommes, des légumes racines tels que les carottes et les patates douces, et aussi de la grande famille des choux (brocoli, chou-fleur, etc.). Beaucoup sont délicieux rôtis.

La saison des grillades étant désormais derrière nous, place au four. La chaleur sèche du four caramélise les sucres naturels des aliments et apporte une profondeur aux saveurs des fruits et légumes. Ça, le barbecue ne peut pas le faire. Voici nos recettes pour faire saliver vos papilles !

Recettes de légumes racines rôtis

Vous n’avez jamais essayé les légumes racines rôtis au four ? vous devriez vous lancer !

Carottes rôties

Les carottes rôties sont vraiment délicieuses.

  • Mélangez-les avec un peu d’huile d’olive et de vinaigre balsamique.
  • Salez et poivrez.
  • Étalez-les sur une plaque de cuisson.
  • Passez au four à 220 °C pendant environ une demi-heure, jusqu’à ce qu’elles soient tendres.

En outre le vinaigre se transforme en un sirop collant qui vient napper les carottes. C’est irrésistible.

Recettes de patates douces et betteraves rôties

Vous pouvez également faire subir le même sort aux pommes de terre, aux patates douces ou aux betteraves. Veillez toutefois à les mélanger à un liquide acide avant de les passer au four (jus de citron ou de citron vert, vinaigre ou jus de grenade) pour contraster avec leur goût naturellement sucré.

Les légumes rôtis constituent un accompagnement excellent !

Que faire des restes de légumes rôtis ?

Si vous avez des restes, ils seront parfaits ajoutés à une soupe, un gratin ou un ragoût.

Vous pouvez également les découper et les associer à d’autres légumes verts et une vinaigrette dans une salade composée.

Recettes de choux rôtis

Vous n’aimez pas le chou-fleur ? tentez le chou-fleur rôti ! Le goût puissant du chou est adouci par la cuisson au four. Ainsi il devient plus sucré et la texture moelleuse. nappez les fleurettes et un oignon émincé d’un filet d’huile d’olive. Salez et poivre, saupoudrez de curry en poudre et faites rôtir au four.

Le brocoli et les choux de Bruxelles (d’autres légumes mal aimés) sont également délicieux lorsqu’ils sont rôtis au four avec un peu d’huile et de l’ail.

Recette de choux de Bruxelles rôtis à l’ail et au parmesan

Même ceux qui pensent ne pas aimer les choux de Bruxelles seront forcés d’admettre que cette recette est délicieuse. Le fait de rôtir les choux de Bruxelles rapidement à haute température adoucit le goût : ils deviennent tendres et sucrés.

Ajoutez un peu d’ail frais et de parmesan et vous obtenez un accompagnement fantastique.

Si vous n’avez pas tout dévoré, conservez-les au réfrigérateur et incorporez-les dans une salade composée le lendemain.

Ingrédients de la recette :

  • 500 g de choux de Bruxelles frais
  • 2 cuillères à soupe et 2 cuillères à café d’huile d’olive
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • 1/4 de cuillère à café de poivre noir
  • 1 gousse d’ail écrasée
  • 2 cuillères à soupe de parmesan

Comment préparer les choux de Bruxelles rôtis à l’ail et au parmesan ?

  • Préchauffez votre four à 200 °C.
  • Placez une feuille d’aluminium sur une plaque de cuisson (suffisamment grande pour y étaler les choux en une seule couche) et arrosez de 2 cuillères à café d’huile d’olive.
  • Placez la plaque de cuisson au four pendant que vous préparez les choux de Bruxelles.
  • Retirez l’extrémité des choux de Bruxelles et découpez-les en deux.
  • Placez-les dans un saladier et ajoutez 2 cuillères à soupe d’huile d’olive.
  • Salez et poivrez.
  • Mélangez pour que l’huile nappe bien les choux.
  • Lorsque votre four est chaud, répartissez les choux sur la plaque.
  • Faites rôtir pendant une vingtaine de minutes, en veillant à secouer un peu la plaque toutes les 5 minutes jusqu’à ce que les feuilles extérieures brunissent et deviennent croquantes. Il faut que les choux soient tendres.
  • Versez les choux de Bruxelles dans un plat de service.
  • Ajoutez l’ail et le parmesan et mélangez.

De nombreux autres légumes d’automne et d’hiver peuvent être rôtis : céleri, courge (potimarron, butternut…), fenouil, oignons…

Et les fruits rôtis ?

Les fruits peuvent aussi être rôtis !

Recette de pommes rôties

Les pommes préparées de cette façon sont un vrai régal. Toutes les variétés ou presque peuvent s’y prêter. Vous pouvez même garder la peau.

Il suffit de découper vos pommes en moitiés ou en quartiers. Retirez le cœur et étalez les morceaux sur une feuille de cuisson ou une plaque préalablement graissée.

Faites rôtir comme vous le feriez pour des légumes. Vous pouvez les passer dans un jus de citron ou de pomme avant d’enfourner, ou dans des épices. Egalement entière, vous les épépinées et mettre un bonne cuillère de miel ou de sirop d’érable .Mais si vos pommes sont fraîchement cueillies, elles se suffiront à elles-mêmes.

Peut-on manger avant de se coucher ?

Peut-on manger avant de se coucher ?

Peut-on manger avant de se coucher ?

Peut-on manger avant de se coucher ? Le grignotage de fin de soirée peut-il être bénéfique ? Voici les avantages et inconvénients du grignotage de fin de soirée. Manger avant de se coucher n’est pas toujours un faux pas. Parfois, prendre un en-cas en fin de soirée peut présenter un intérêt.

Manger lors de la soirée : une mauvaise habitude ?

Imaginons que vous prenez toujours un en-cas juste avant de vous endormir. Vous vous dites sûrement qu’il faudrait absolument supprimer cette très mauvaise habitude. Mais à ce stage de la description, il n’est pas possible de dire que c’est une mauvaise habitude. En effet, il faut à ce stage se poser quelques questions :

  • Que prenez-vous comme en-cas ?
  • En quelle quantité ?
  • Mangez-vous parce que vous avez faim? Ou simplement par habitude ?
  • Que se passe-t-il si vous ne mangez pas avant d’aller dormir ?

Avec les réponses à ces questions, on pourra déterminer si c’est une bonne ou une mauvaise habitude.

Dans quels cas grignoter en fin de soirée n’est pas recommandé ?

Un apport calorique trop grand

Si le fait de grignoter le soir vous fait dépasser le budget calories alloué pour la journée, alors considérons que c’est une habitude qu’il vaudrait mieux proscrire. Bref, si vous mangez suffisamment pendant la journée, abstenez-vous de prendre une collation en fin de soirée pour passer une bonne nuit.

Une digestion compliquée, et donc un sommeil de moins bonne qualité

Et à moins que votre en-cas ne soit vraiment petit, léger et facile à digérer, vous coucher peu après avoir mangé est le meilleur moyen d’être réveillé par des brûlures d’estomac et donc de ne pas dormir suffisamment. Avec une nuit de sommeil perturbée sans sommeil réparateur, voire des troubles du sommeil (insomnie…), la fatigue risque de s’installer par manque de sommeil.

Mais, même si c’est une habitude souvent déconseillée, notamment chez les personnes qui veulent perdre du poids, le grignotage en fin de soirée n’est pas toujours si mauvais. Il pourrait même vous être bénéfique.

Le grignotage en soirée est bénéfique si…

Vous cherchez à prendre du poids

Parmi les personnes qui cherchent à prendre du poids, nombreuses sont celles qui doivent lutter contre leur petit appétit. Elles n’ont pas faim suffisamment souvent pour stimuler leur apport calorique lors des repas. Mais la plupart trouvent que le laps de temps suffisamment long entre le dîner et l’heure du coucher leur permet de ressentir la faim avant de dormir.

Vous avez gardé une réserve de calories pour une collation légère

Les aliments ne font pas plus grossir s’ils sont consommés à 9 heures du soir ou 9 heures du matin. Ainsi, manger juste avant d’aller vous coucher n’est pas un problème dans la mesure où cela ne vous fait pas dépasser votre limite calorique pour la journée.

Certaines personnes ont recours à cet en-cas du soir parce qu’elles ont pour habitude de dîner léger et tôt dans la soirée. Elles veillent tard et ont donc un peu faim avant d’aller au lit.

Vous dormez mieux avec un en-cas dans l’estomac

Vous trouvez peut-être que vous ne dormez bien que si vous vous couchez après avoir mangé un petit quelque chose avant de vous glisser dans votre lit. Possible. Un petit en-cas au moment du coucher peut vous aider à rééquilibrer les hormones qui régulent la satiété, pour bien dormir ensuite.

En temps normal, le corps produit de la ghréline, une hormone qui augmente la sensation de faim, et sa sécrétion s’interrompt lorsque vous mangez. Cet effet s’accompagne d’une production de leptine, une hormone qui indique à l’organisme que vous n’avez plus faim. Si la sécrétion de ces deux hormones est déséquilibrée, alors un en-cas léger pourrait vous aider à retrouver un équilibre.

Vous participez à une épreuve sportive le lendemain matin

Si vous êtes un ou une athlète d’endurance et si vous avez une épreuve sportive prévue le lendemain, alors une collation riche en glucides avant de vous coucher sera facile à digérer et permettra de reconstituer vos réserves d’énergie pour assurer votre activité le lendemain matin.

Vous cherchez à développer votre masse musculaire

L’entraînement sportif axé sur la résistance développe la masse musculaire, bien sûr. Mais il est inutile d’espérer voir vos muscles gonfler si vous n’apportez pas suffisamment de protéines à votre corps.

C’est pourquoi la plupart des haltérophiles consomment des protéines après leur séance de musculation. Les éléments constituants des protéines, les acides aminés, sont utilisés par le corps pour développer des tissus musculaires. Pour cela vous devez mettre à disposition de ce dernier une quantité suffisante d’acides aminés. Il va sans dire qu’une fois votre dîner digéré et absorbé, le taux d’acides aminés dans votre sang diminue au cours de la nuit, ce qui peut ralentir le processus de développent musculaire. Mais une étude1 récente montre que consommer une boisson protéinée avant le coucher peut stimuler le taux d’acides aminés en circulation, qui encouragent à leur tour une augmentation du taux de synthèse des protéines musculaires au cours de la nuit.

¹Res PT et al. Med Sci Sports Exerc 44:1560;2012.
Source: Susan Bowerman, Sr. Présidente, Département International Formation et Nutrition, Herbalife Nutrition

La banane est-elle l’aliment idéal du sportif ?

La banane est-elle l’aliment idéal du sportif ?

La banane est-elle l’aliment idéal du sportif ?

La banane est-elle l’aliment idéal du sportif ? Énergétique et facile à digérer : la banane a tout pour séduire le sportif. Focus sur ce fruit !

Combien de calories apporte la banane ?

La banane est un fruit très énergétique et calorique. Ainsi, une banane contient environ 90 Kcal (90 kilocalories) pour 100 grammes. Une petite banane pèse environ 100 grammes, une fois sa peau enlevée.

Or, pendant l’effort, le sportif va chercher des apports en énergie. La banane y répond donc, aidant à éviter les fringales ! Un sportif doit la préférer mûre. En effet, une banane verte contient un glucide complexe (l’amidon, que l’on trouve dans les féculents par exemple). A l’inverse, une banane mûre est riche en glucides simples (saccharose), apportant ainsi rapidement de l’énergie à l’organisme.

Elle est par ailleurs à haute teneur en potassium (300mg/100g), dont elle peut couvrir les besoins quotidiens. Le potassium est important pour le sportif puisqu’il aide à la récupération chez le sportif. Elle limite aussi le risque d’avoir des crampes, ce qui est un atout pour les sports d’endurance, comme le running ou le vélo.

Nutritive, elle est riche en hydrates de carbone, en phosphore, en calcium, et en vitamines (vitamine A, vitamines B1 et B2 et vitamine C).

Bon à savoir : plus elle est mûre, plus son index glycémique est élevé : vous pouvez la choisir mûre en amont ou pendant un effort physique, mais peu mûre après.

La banane : un fruit facile à digérer

La banane est aussi facile à digérer, ce qui est un atout pour le sportif. Lors d’un effort sportif, notamment prolongé, la consommation d’aliments faciles à digérer permet de fournir à l’organisme un apport en calories et nutriments efficace, ne sollicitant pas trop le système digestif.

Comme indiqué précédemment, plus elle est mûre, plus elle contient de glucides. Or les glucides se digèrent plus facilement. Les bananes mûres sont donc bien à privilégier pendant l’effort, si vous voulez avoir une digestion facile.

Attention toutefois : certaines personnes trouvent la banane un peu lourde à digérer (elle leur reste sur l’estomac) : si c’est votre cas, et malgré les qualités de ce fruit, n’en prenez pas lorsque vous êtes en plein effort !

Pour avoir la banane !

La banane contient aussi du tryptophane, une protéine que l’organisme va transformer en sérotonine, hormone influençant l’humeur (un bon taux de sérotonine favorisant la bonne humeur). Or, la pratique régulière d’une activité physique augmente la sécrétion naturelle de sérotonine.

Bref, la banane avant, pendant et après l’effort

Sauf à mal digérer la banane, le sportif ne peut qu’être séduit par ce fruit. Avant l’effort, elle permet de booster son organismePendant l’effort, ce fruit jaune consiste une excellente source d’énergie, et aide à prévenir des crampes. En mode récupération, ce fruit exotique et ses glucides aident l’organisme à refaire ses stocks !

Comment consommer une banane ?

Dans votre smoothie. Vous pouvez aussi la prendre en dessert, en enlevant juste la peau, ou en l’associant dans un bol avec d’autres aliments intéressants pour les sportifs : des fruits secs (noix, amandes…) ou des fruits frais (kiwi, mangue, framboise, pomme, figue, fraise, poire…). Vous pouvez aussi saupoudrer votre mélange de cannelle ou de graines de chia, et/ou apporter du liquide avec du lait de coco par exemple.

Combien de calories apporte la banane ?

La banane est un fruit très énergétique et calorique. Ainsi, une banane contient environ 90 Kcal (90 kilocalories) pour 100 grammes. Une petite banane pèse environ 100 grammes, une fois sa peau enlevée.

Or, pendant l’effort, le sportif va chercher des apports en énergie. La banane y répond donc, aidant à éviter les fringales ! Un sportif doit la préférer mûre. En effet, une banane verte contient un glucide complexe (l’amidon, que l’on trouve dans les féculents par exemple). A l’inverse, une banane mûre est riche en glucides simples (saccharose), apportant ainsi rapidement de l’énergie à l’organisme.

Elle est par ailleurs à haute teneur en potassium (300mg/100g), dont elle peut couvrir les besoins quotidiens. Le potassium est important pour le sportif puisqu’il aide à la récupération chez le sportif. Elle limite aussi le risque d’avoir des crampes, ce qui est un atout pour les sports d’endurance, comme le running ou le vélo.

Nutritive, elle est riche en hydrates de carbone, en phosphore, en calcium, et en vitamines (vitamine A, vitamines B1 et B2 et vitamine C).

Bon à savoir : plus elle est mûre, plus son index glycémique est élevé : vous pouvez la choisir mûre en amont ou pendant un effort physique, mais peu mûre après.

La banane : un fruit facile à digérer

La banane est aussi facile à digérer, ce qui est un atout pour le sportif. Lors d’un effort sportif, notamment prolongé, la consommation d’aliments faciles à digérer permet de fournir à l’organisme un apport en calories et nutriments efficace, ne sollicitant pas trop le système digestif.

Comme indiqué précédemment, plus elle est mûre, plus elle contient de glucides. Or les glucides se digèrent plus facilement. Les bananes mûres sont donc bien à privilégier pendant l’effort, si vous voulez avoir une digestion facile.

Attention toutefois : certaines personnes trouvent la banane un peu lourde à digérer (elle leur reste sur l’estomac) : si c’est votre cas, et malgré les qualités de ce fruit, n’en prenez pas lorsque vous êtes en plein effort !

Pour avoir la banane !

La banane contient aussi du tryptophane, une protéine que l’organisme va transformer en sérotonine, hormone influençant l’humeur (un bon taux de sérotonine favorisant la bonne humeur). Or, la pratique régulière d’une activité physique augmente la sécrétion naturelle de sérotonine.

Bref, la banane avant, pendant et après l’effort

Sauf à mal digérer la banane, le sportif ne peut qu’être séduit par ce fruit. Avant l’effort, elle permet de booster son organismePendant l’effort, ce fruit jaune consiste une excellente source d’énergie, et aide à prévenir des crampes. En mode récupération, ce fruit exotique et ses glucides aident l’organisme à refaire ses stocks !

Comment consommer une banane ?

Vous pouvez aussi la prendre en dessert, en enlevant juste la peau, ou en l’associant dans un bol avec d’autres aliments intéressants pour les sportifs : des fruits secs (noix, amandes…) ou des fruits frais (kiwi, mangue, framboise, pomme, figue, fraise, poire…). Vous pouvez aussi saupoudrer votre mélange de cannelle ou de graines de chia, et/ou apporter du liquide avec du lait de coco par exemple.

 

La banane est par ailleurs un fruit qui permet de faire facilement des gâteaux ou cakes (les recettes s’adaptent facilement pour la confection de muffins). Le plus connu est sans doute le « banana bread ». Vous trouverez facilement sur la toile des recettes de banana bread. Pour notre part, voici notre version du banana bread sous forme de shake.

Recette du shake « banana bread »

Ingrédients :

  • 2 cuillères de Formula 1 à la vanille
  • 2 cuillères à soupe de poudre de protéine personnalisée
  • 1 tasse de lait de soja nature ou de lait écrémé
  • 1/2 banane bien mûre
  • Une pincée d’arôme de noix
  • Quelques gouttes d’extrait de vanille
  • 1 trait de cannelle
  • 4 glaçons (facultatifs)

Comment préparer cette recette ? Placez tous les ingrédients dans le mixeur et mélangez bien jusqu’à ce que les glaçons soient complètement écrasés.

Valeurs nutritionnelles (avec lait écrémé): calories: 270 kcal ; protéines : 30 grammes ; lipides: 1 gramme ; glucides: 26 grammes.

On vous a déjà parlé de la banane sur le blog :

  • Aliment basifiant, elle vous aide à rétablir votre équilibre acido-basique
  • Elle est source d’amidons résistants

Comment choisir un substitut de repas ?

Comment choisir un substitut de repas ?

Comment choisir un substitut de repas ?

Comment choisir un substitut de repas ? Pour maigrir, beaucoup se tournent vers les substituts de repas. Mais savez-vous comment choisir votre substitut de repas ? Nous allons  vous éclairer  pour faire les bons choix pour perdre du poids, mais pas que !

Qu’est-ce qu’un substitut de repas ?

Un substitut de repas est une préparation diététique destinée à remplacer un repas de manière équilibrée dans le cadre d’une alimentation saine et variée.

Pourquoi prendre un substitut de repas ?

Choisir de prendre un substitut de repas peut répondre à différents objectifs.

Perdre du poids

Les substituts de repas se sont d’abord développés pour répondre à des souhaits de perte de poids. Ils sont en effet peu riches en calories (apport calorique limité : de 200 à 400 calories pour les substituts de repas pour contrôle de poids) avec des apports :

  • en protéines : 25 à 50 % de l’apport énergétique total du produit,
  • lipides limités à 30%,
  • vitamines et minéraux indispensables (12 vitamines et 11 minéraux).

Ainsi, ces produits de régime se prennent surtout dans le cadre d’un régime hypocalorique visant à maigrir.

Manger rapidement

Ce type de repas se prenant en peu de temps, il séduit par le gain de temps procuré.

Ils peuvent ainsi éviter de sauter un repas par manque de temps (une mauvaise idée dans le cadre d’une démarche de perte ou de contrôle de poids).

Attention à ne pas oublier que les substituts de repas ne peuvent remplacer tous les repas de la journée !

Apporter les nutriments dont l’organisme a besoin.

En fonction de ses objectifs, prendre des substituts de repas permet de procurer à son corps les nutriments et vitamines dont il a besoin. Par exemple, les sportifs prendront avantageusement des substituts de repas protéinés. On parle alors plutôt d’en-cas hyperprotéiné (ou collation hyperprotéinée).

Quelles sont les formes des substituts de repas ?

Un substitut de repas peut se présenter sous la forme de barres, de shakes ou de soupes.

Il n’y a pas une forme meilleure que l’autre. Prenez toutefois en compte que :

  • C’est la praticité du substitut qui va l’emporter : si vous êtes en déplacement, une barre sera peut-être plus facile à consommer. Au travail, si vous disposez d’un espace « cuisine », vous pourrez réchauffer une soupe.
  • Il est conseillé de varier les formes de manière à ne pas vous lasser.

Sucré ou salé ?

Pour varier les plaisirs, alterner les substituts sucrés et salés.

Pour vous y aider, Herbalife Nutrition lance son nouveau substitut de repas salé : la Formula 1 Repas salé saveur Champignons et fines herbes. Option parfaite pour un délicieux déjeuner ou un dîner équilibré d’un point de vue nutritionnel, la Formula 1 Repas salé est un repas riche et onctueux, facile à préparer.

Pourquoi vous laisser tenter par le nouveau substitut de repas salé ?

  • Apporte les nutriments essentiels dont le corps a besoin (5 grammes de fibres, 25 vitamines et minéraux…)
  • Contient 19 grammes de protéines par portion (lorsqu’il est préparé avec du lait de vache), ce qui contribue au développement et à l’entretien de la masse musculaire,
  • Apporte 216kcal, ce qui en fait un très bon repas à apport calorique contrôlé,
  • Est formulé avec des ingrédients véganes et est sans-gluten.

Comment bien manger votre substitut de repas ?

  • Un substitut de repas se prenant dans le cadre d’une alimentation équilibrée et saine, il ne peut replacer tous les repas!
  • Mangez varié et léger lors de l’autre repas principal : un poisson ou une viande maigre (viande blanche, volaille), des légumes verts, un féculent complet (pain complet, riz complet, pâtes avec de la farine complète…), fruit et laitage à 0 % au dessert.
  • Ne perdez pas de vue qu’il faut boire au moins un litre et demi d’eau par jour.
  • Bougez! Pratiquez une activité physique pour avoir un mode de vie sain.

Besoin de conseils ? Contactez moi !

Et vous, quels types de substituts de repas consommez-vous ?

 

Sources : Herbalife Nutrition

Quelle est la meilleure position pour dormir ?

Quelle est la meilleure position pour dormir ?

Quelle est la meilleure position pour dormir ?

Quelle est la meilleure position pour dormir ?  Sur le dos, sur le ventre, sur le côté, un position fœtale ? Décryptons les différentes positions pour vous endormir et avoir une bonne qualité de sommeil.

Pour s’endormir, chacun a sa préférence en termes de position. Il est toutefois important de connaître les conséquences des différentes positions que l’on peut adopter lorsque l’on va se coucher : quels sont les avantages et inconvénients des différentes positions ? Comment bien dormir ? Comment trouver la bonne position adaptée à votre morphologie ou à vos contraintes ? Quelle position privilégier ?

Dormir sur le dos

Dormir sur le dos est réputé être la position idéale. C’est vrai, à condition de faire attention à sa morphologie et au matelas. Une personne légèrement voûtée et qui dort sur le dos aura besoin de soutenir sa nuque avec plusieurs oreillers. Un matelas trop dur risque de provoquer des douleurs musculaires car les muscles se retrouvent comprimés.

 Avantages

  • Réduit les risques de douleur dans le cou et dans le dos.
  • Limite les reflux gastriques.
  • Minimise les rides du visage (pas de phénomène du visage « chiffonné » après une nuit sur le coussin).

inconvénients

  • Risque de ronfler.
  • Déconseillé pour les personnes faisant de l’apnée du sommeil.

Au final, dormir sur le dos est une bonne position, à condition de ne pas avoir un matelas trop dur et de faire attention à sa morphologie. Optez pour un oreiller rembourré qui vienne soutenir le coup et la tête.

Dormir sur le ventre

Position favorite pour certains, dormir à plat-ventre présente de très nombreuses limites.

Avantages

  • Pas d’avantages.

Inconvénients

  • Pression sur les muscles et les articulations.
  • Risques de douleurs, de tensions et d’engourdissements (cervicales…).
  • Difficultés respiratoires (tensions sur les muscles qui permettent de déglutir, et appui sur la cage thoracique).
  • Mal de dos (notamment bas du dos), dû au creusement du dos, les vertèbres n’étant plus alignées.

Bref, la position sur le ventre n’est pas recommandée. Si vous êtes une personne qui dort sur le ventre et que vous ne pouvez vous passer de cette position, choisissez un matelas ferme et un oreiller plat.

Dormir sur le côté : la meilleure position pour dormir ?

Dormir corps et bras sous l’oreiller peut procurer de bonnes sensations au dormeur. Peut-être moins à son corps.

Avantages

  • Limite les ronflements et les reflux gastriques.
  • Favorise la circulation sanguine sur le côté gauche.
  • Position optimale pour les femmes enceintes qui doivent éviter de dormir sur le côté droit (le bébé comprime le retour veineux).

Inconvénients

  • Moins bon pour le visage.
  • Risque de douleurs à l’épaule et à la hanche si position prolongée car le poids est concentré d’un côté.
  • Risque d’engourdissement des bras (les vaisseaux sanguins et les nerfs sont comprimés lorsque l’on dort les bras plus haut que les épaules).

Pour bien dormir sur le côté, disposez un coussin entre les genoux de manière à aligner fémur et axe du bassin.

Dormir en position fœtale

La position fœtale est l’une des positions les plus fréquemment adoptées par les dormeurs.

Avantages

  • Position appréciée des femmes enceintes et des personnes qui ronflent.
  • Les personnes qui ont mal au dos peuvent également la favoriser.

Inconvénients

  • Difficultés respiratoires lors du sommeil car la cage thoracique n’a pas la place de s’ouvrir (la colonne vertébrale est trop arrondie).

Si vous optez pour cette position, pliez l’une de vos jambes et tendez l’autre : votre bassin vous remerciera.

Et vous, dans quelle(s) position(s) dormez-vous pour mieux dormir et avoir un sommeil réparateur ?