Vous débutez le trail : comment gérer les dénivelés ?

Vous débutez le trail : comment gérer les dénivelés ?

Vous débutez le trail : comment gérer les dénivelés ?

Lorsque l’on pratique le trail, on est quasiment assuré de se confronter à des montées et à des descentes. Bref, il faut savoir gérer le dénivelé ! Voici nos conseils.

Qu’est-ce qu’un trail ?

Le trail (ou « course nature » ou, en anglais, « trail running ») est un sport de course à pied, sur des distances très variables (de quelques kilomètres pour les trails « découvertes » à bien plus de 100 kilomètres pour les plus aguerris – on parle alors d’ultra-trail), en milieu naturel, souvent sur des chemins de terre et des sentiers de randonnée en plaine, en forêt ou en montagne.

Que vous pratiquiez le trail (c’est-à-dire fassiez des sorties de course nature) ou que vous couriez un trail (comprendre : fassiez une course chronométrée dans la nature), vous serez confronté à la problématique de la gestion des dénivelés.

Le dénivelé en trail : des montées, mais aussi des descentes

Tout traileur ou traileuse le sait : il faut savoir gérer tant les montées que les descentes !

Trail : bien appréhender les montées

Le traileur ou la traileuse fait face à des montées, mais d’intensité très variable. Certaines seront « roulantes » (et l’on pourra courir sur ces portions) quand d’autres seront bien plus raides : dans ce cas, opter pour une phase de marche (plus économique pour l’organisme) est une solution efficace. Comment savoir quand courir et quand marcher en côtes ? L’entraînement et la pratique vous l’apprendront car il n’y a pas de règle absolue : c’est à chacun de bien se connaître.

Quelle que soit l’allure, en mettant les mains sur les cuisses, le traileur ou la traileuse abaissera son centre de gravité, ce qui lui permettra de moins puiser dans ses réserves, tout en restant efficace.

L’alternative (à choisir notamment en alternance avec les mains sur les cuisses) est de positionner ses mains dans le bas du dos, tout en se penchant vers l’avant.

En termes d’équipement, des bâtons vous aideront dans les montées, puisque vous mobiliserez aussi le haut du corps !

Trail : bien gérer les descentes

A l’inverse du vélo, les descentes en trail ne sont pas de tout repos (pas de « roue libre »).

Même si le traileur ou la traileuse a souvent tendance à se pencher en arrière (pour ne pas se laisser emporter par la vitesse), le mieux est à l’inverse de se pencher légèrement en avant.

Cela permet d’utiliser la pente pour avoir de la vitesse en se fatiguant moins, et de moins faire souffrir ses articulations (en effet, qui dit posture en arrière dit attaque talon, et donc un organisme et des articulations très impactés par ce type de foulée).

En descente, il faut aussi être lucide : sur les chemins, les pièges peuvent être nombreux. Ainsi, regarder devant soi est essentiel pour les anticiper et les éviter. N’hésitez pas à modérer votre allure pour descendre en toute sécurité, notamment si vous avez en coup de moins bien mental (et donc moins de lucidité et de réactivité aux imprévus).

De la pratique !

Au-delà de ces conseils, tout nouveau pratiquant du trail doit se faire sa propre expérience des montées et descentes, et apprendre comment réagit son organisme. La prudence reste de mise, particulièrement au début.

Peut-être existe-t-il des groupes de coureurs pratiquant le course nature près de chez vous ? En ce cas, n’hésitez pas à vous rapprocher d’eux : vous apprendrez avec une plus grande efficacité aux côtés de traileurs et traileuses plus expérimentés !

Le sport, c’est aussi de la récupération ! Pour l’optimiser au mieux, pensez à la boisson de l’effort CR7 et à la gamme Herbalife Rebuild Endurance.

5 mythes sur la graisse décryptés

5 mythes sur la graisse décryptés

5 Mythes sur la graisse décryptés

5 Mythes de la graisse décryptés. Nous passons notre temps à espérer que la graisse disparaisse, comme si elle ne servait à rien à part nous rappeler que nous mangeons trop ou que nous avons une mauvaise condition physique. Peu de personnes comprennent parfaitement ce qu’est réellement la graisse du corps, pourquoi elle est présente et ce qu’elles peuvent et ne pas faire pour l’éliminer. Il est temps de tuer quelques mythes à ce sujet.

Mythe #1 sur la graisse : si vous ne faites pas de sport, vos muscles se transformeront en graisse.

C’est certes l’impression que l’on en a. Arrêtez le sport pendant quelque temps et rapidement vous constaterez que vos muscles deviennent flasques. La musculation développe et répare les muscles. Ainsi, lorsque vous cessez de vous entraîner, les fibres de vos muscles rétrécissent. Et vous commencez à stocker de petites quantités de graisse entre ces fibres. C’est ce qui donne cette impression.

Mais les cellules des muscles et celles de la graisse ne sont pas interchangeables. On ne peut pas changer une cellule osseuse en cellule nerveuse ni une cellule de globule rouge en cellule tissulaire. Et bien c’est la même chose pour les cellules musculaires. Elles ne peuvent pas se changer en cellules adipeuses.

Idée reçue #2 sur la graisse : il est possible de choisir la zone où perdre de la graisse.

Réduire la masse adipeuse ou l’éliminer en un seul endroit du corps est impossible. Bien sûr, si vous axez vos entraînements sur les abdominaux ou sur les jambes, vous allez tonifier les muscles qui se trouvent en dessous, et vous aurez l’impression que votre silhouette s’est affinée en ces endroits.

Mais quand vous perdez de la graisse, c’est sur tout le corps.

Si, au départ, vous êtes plutôt charpentée avec des formes, alors vous aurez toujours des formes même après avoir perdu du poids. Et si vous n’avez pas les hanches et la taille très marquées au départ, cela ne changera pas même si vous faites des abdominaux à outrance. Lorsque vous perdez de la graisse, votre silhouette ne se transforme pas du tout au tout. Elle rétrécit, c’est tout.

Fable #3 sur la graisse : les cellules adipeuses ne servent qu’à stocker la graisse.

Jusqu’à récemment, on pensait que les cellules adipeuses se réduisaient à de simples poches de graisses, une sorte de réservoir pour surplus de calories. La réalité est toute autre. On sait désormais que les cellules adipeuses produisent un certain nombre d’hormones, des messagers chimiques libérés dans le sang qui envoient des signaux à d’autres parties du corps et qui peuvent avoir des effets importants sur la santé. Mais ce n’est pas tout. La graisse est sans cesse déplacée des cellules en fonction des besoins du corps.

Mythe #4 sur la graisse : vous devriez essayer de baisser au minimum votre masse adipeuse.

S’il est certainement vrai que l’excès de graisse peut mettre en péril votre santé, il faut en avoir un peu quand même. Et bien qu’elle soit notre meilleure ennemie, elle revêt des fonctions d’importance. Outre la production d’hormones vitales, la graisse stocke les vitamines liposolubles, isole du chaud, du froid et des coups les organes vitaux et même la plante des pieds. La proportion équilibrée de masse adipeuse est de 15% environ chez les hommes et 22% chez les femmes.

Idée reçue #5 sur la graisse : la graisse pèse moins lourd que les muscles.

C’est une remarque qu’on ne cesse d’entendre, mais qui techniquement est incorrecte. Un kilo reste un kilo, qu’il s’agisse de graisse, de muscle ou de plumes. Il serait plus correct de dire que la graisse est moins dense que les muscles, ce qui revient à dire qu’un kilo de graisse occupe un volume plus important qu’un kilo de muscle. C’est pourquoi les personnes très musclées pèsent souvent plus que ce que l’on pourrait penser. Leur corps est plus dense, avec davantage de muscles dans un petit volume.

Vous mangez vite ? Voici les conséquences sur votre corps et votre poids

Vous mangez vite ? Voici les conséquences sur votre corps et votre poids

Vous mangez vite ? Voici les conséquences sur votre corps et votre poids

Vous avez l’habitude de manger rapidement ? Aïe ! En effet, les effets sur l’organisme d’un repas pris trop rapidement (que ce soit un petit déjeuner, un déjeuner ou un dîner) sont nombreux et… négatifs. Voici, ainsi, pourquoi il est important de prendre le temps de manger.

Le temps d’un repas : essentiel pour le contrôle et la perte de poids

On vous l’a déjà dit : l’un des risques lorsque l’on mange trop est la prise de poids.

En effet, la sensation de satiété arrive environ 30 minutes après le début du repas. Si vous mangez trop rapidement, vous terminerez votre repas en aillant faim. Donc en risquant de manger encore (sans que cela réponde à un besoin réel de l’organisme).

Prendre le temps de manger pour éviter les ballonnements

La digestion d’un repas démarre avec la mastication.

Or, si vous ne prenez pas le temps de bien broyer les aliments avec vos dents, ceux-ci n’arriveront bien mâchés dans l’estomac. Résultat : votre estomac devra mobiliser plus d’énergie pour digérer les aliments. Et c’est avec ce sur-effort que viennent les ballonnements.

Être en meilleure forme grâce à des repas plus longs

Dans la prolongation du point précédent. Si vous demandez plus d’effort à votre estomac pour digérer les aliments que vous avez avalés, les effets vont se ressentir sur l’ensemble de l’organisme. De fait, celui-ci va devoir se mobiliser sur la digestion, entrainant le fameux « coup de barre ».

Être de meilleure humeur avec des temps de repas allongés

Avez-vous remarqué que vous étiez plus serein à l’issue d’un repas pour lequel vous avez pris le temps nécessaire ? La raison est simple : en cas de repas rapide, l’intestin va envoyer des signaux au cerveau. Ce qui provoquera une perturbation de l’humeur.

Comment prendre le temps de manger ?

Pour vous assurer de passer suffisamment de temps à manger, Herbalife Nutrition vous délivre ses conseils (détaillés dans l’article 5 astuces pour manger moins vite) :

  • Mangez par étape, en commençant par des aliments moins caloriques (soupe, crudités…).
  • Prenez votre repas au calme.
  • Dégustez vos plats à la bonne température.
  • Ne mettez rien dans votre fourchette ou votre cuillère tant que vous n’avez pas fini votre bouchée.
  • Faites une pause au milieu du repas (pour boire de l’eau, discuter…).

Et vous, avez-vous la sensation de manger trop vite ? quelles astuces suivez-vous pour y remédier ?

Source : Herbalife Nutrition

Renforcez vos fessiers et vos jambes avec un entraînement Tabata !

Renforcez vos fessiers et vos jambes avec un entraînement Tabata !

Renforcez vos fessiers et vos jambes avec un entraînement Tabata !

Ajouter un entraînement Tabata à votre routine fitness habituelle peut vous permettre d’améliorer votre niveau général et de pousser vos limites encore plus loin.

Le modèle Tabata implique un entraînement haute intensité. Nombreux sont celles et ceux qui ont adopté cette méthode qui permet d’obtenir un maximum de résultats en un temps minime. C’est donc le premier choix des sportifs contraints par un emploi du temps serré.

L’entraînement Tabata s’appuie sur un protocole défini d’entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT). L’entraînement Tabata alterne des exercices de forte intensité et des moments de repos. 10 secondes de repos font systématiquement suite à 20 secondes d’exercice intense, selon un cycle de 8 répétitions des exercices. En règle générale, un entraînement Tabata compte 4 exercices au total, soit un temps d’entraînement d’environ 4 minutes (3 minutes et 50 secondes pour être précis).

Bien qu’extrêmement intenses, ces 4 minutes ne suffisent pas pour un grand nombre de personnes et donnent envie de poursuivre l’entraînement. Il est possible de cumuler trois ou quatre entraînements Tabata, avec un temps de repos entre chaque, pour arriver à un entraînement d’une vingtaine de minutes. J’ai assisté à ce format d’entraînement. Il permet de travailler les muscles profonds de tout le corps et la résistance cardio.

De par leur nature intense, les entraînements Tabata ne sont pas conseillés aux débutants. Les participants ne doivent pas pratiquer s’ils sont blessés, ils doivent avoir une bonne condition physique et afficher un niveau de fitness intermédiaire ou avancé avant de passer aux formats haute intensité. Au départ, un seul entraînement Tabata devait être effectué par session. J’ai donc choisi de partager ma routine jambes et fessiers préférée.

Challenge Tabata jambes et fessiers

Exercice 1 : Squat – 20 secondes

Repos : 10 secondes

Exercice 2 : Fente inversée jambe droite et montée du genou – 20 secondes

Repos : 10 secondes

Exercice 3 : Fente inversée jambe gauche et montée du genou – 20 secondes

Repos : 10 secondes

Exercice 4 : Fente latérale alternée – 20 secondes

Repos : 10 secondes

Faites cet enchaînement 2 fois afin d’atteindre le nombre de 8 exercices

Pensez à bien vous hydrater !

L’hydratation reste toujours un élément clé de tout entraînement. L’occasion de vous rappeler que #ThemixChallenge se poursuit 😉

Source :Samantha Clayton, Vice-présidente du département Worldwide Sports Performance and Fitness au sein de Herbalife

Focus sur l’équilibre acido-basique : les particularités de ce régime

Focus sur l’équilibre acido-basique : les particularités de ce régime

Focus sur l'équilibre acido-basique

L’équilibre acido-basique : les particularité de ce régime. Les habitudes alimentaires occidentales et notre mode de vie actuel ont tendance à acidifier notre organisme. Cette acidité constante, appelée aussi acidose chronique, est mal supportée par le corps. Elle peut provoquer des désagréments .Tels que la déminéralisation des os, le risque d’apparition de calculs rénaux . Mais aussi des sensibilités et des douleurs plus marquées, des faiblesses musculaires ou encore une augmentation de la tension artérielle.  

Pour éviter cela, quelques petites recommandations simples !

Adopter un mode de vie plus sain. Privilégiez le plus possible des bonnes nuits de sommeil. En revanche, évitez le tabac et l’alcool, qui ont tendance à favoriser l’acidité de l’organisme. Tout comme le stress et le manque d’activité sportive.

 

Modérer les aliments acides

Il est assez simple de trouver sur la toile la liste des aliments les plus acides à éviter. Pour identifier les principaux !  Il ne suffit que d’un peu de bons sens, les personnes ayant des aigreurs d’estomac les connaissent bien !

Parmi eux, on trouve les protéines animales (viande rouge, charcuterie, poisson gras…) et les céréales raffinées (le blé, le riz blanc). Les produits laitiers ont aussi tendance à acidifier l’organisme. Tout comme certains fruits et légumes (les agrumes, les tomates, les kiwis). Ou encore les boissons énergisantes caféinées (ou sodas).

A l’inverse, favoriser les aliments basifiant ou alcalinisant

Ce sont des aliments doux souvent utilisés dans les régimes végétariens : les légumes verts, les légumineuses, les noix. Certains fruits font partie de cette famille (poire, banane, melon). Les protéines végétales, les huiles et les céréales complètes sont aussi à intégrer à ses habitudes alimentaires. 

Les avantages de ce régime ne sont pas prouvés scientifiquement. Mais on peut observer un ralentissement du vieillissement de la peau, un regain de tonicité, et éventuellement une perte de poids

Rétablir son équilibre acido-basique

En bref, pour parvenir à rétablir un équilibre acido-basique, voilà ce qu’il faut retenir : 

  • Boire beaucoup d’eau, de la tisane ou de thé vert,
  • Privilégier les aliments naturels et de saison (en opposition aux plats industriels et aliments transformés),
  • Privilégier les protéines végétales et limiter la viande. Le cas échéant, choisir une viande de qualité,
  • Choisir plutôt des produits laitiers à base de boissons végétales (soja, amande, riz…),
  • Limiter la consommation de céréales comme le blé et le maïs, on leur préférera plutôt le quinoa, l’orge ou le sarrasin.
Source : HERBALIFE NUTRITION

5 idées reçues sur la nutrition

5 idées reçues sur la nutrition

5 idées reçues sur la nutrtion

En matière de nutrition et d’alimentation, les idées reçues sont nombreuses. Herbalife Nutrition en décrypte 5 dans cet article !

Idée reçue nutrition #1 : manger des féculents fait grossir

Faux. A l’inverse de ce qui est parfois dit, consommer des féculents (pain, riz, pâtes, pommes de terre, etc.) ne fait pas grossir.

Par contre, ce qui peut impacter le poids, c’est ce qui est ajouté aux féculents : beurre (matière grasse), confiture (aliment sucré), sauce (souvent trop grasses et/ou salées)…

Dans tous les cas, les nutritionnistes préconisent d’intégrer des féculents à chaque repas : ils vous apporteront glucides complexes (c’est-à-dire de l’énergie pendant plusieurs heures).

Bref, mangez des féculents, vous ne prendrez pas forcément de poids, pour peu que vous les cuisiniez intelligemment ! Vous manquez d’idées de recettes légères et équilibrées avec des féculents ? Relisez notre article !

Idée reçue nutrition #2 : il faut préférer la viande blanche à la viande rouge

VRAI et FAUX. Si ces deux types de viande ont le même taux de protéines, la viande rouge est en général (cela peut dépendre des morceaux) plus grasse que la blanche. Et, surtout, la graisse de la viande rouge est contenue dans la viande (on dit qu’elle est persillée). La viande blanche est identifiable et donc retirable. (pensez au gras du jambon par exemple)

Globalement, à l’échelle d’une semaine, il est recommandé de ne pas consommer plus de 500 grammes de viande (rouge ou blanche). Voir, à ce sujet, notre article sur les recommandations 2019 du Programme National Nutrition Santé (PNNS).

Idée reçue nutrition #3 : les fruits et légumes surgelés contiennent moins de vitamines que les frais

FAUX. Les fruits et légumes surgelés sont aussi riches en vitamines que les frais.  Surgelés juste après leur récolte, ils conservent leurs qualités nutritionnelles.

N’hésitez donc pas à avoir des fruits surgelés chez vous, pour les consommer, par exemple, dans vos shakes. Vous remarquerez d’ailleurs que de nombreuses recettes de shakes utilisent des fruits surgelés sur notre site de recettes de shakes My Herbalife Shake !

Idée reçue nutrition #4 : sauter des repas ne fait pas maigrir

VRAI. Vous pensiez perdre du poids en sautant le petit déjeuner ou le dîner ? C’est raté ! Et c’est même raté deux fois.

D’une part, si l’organisme – en l’absence d’apports nutritifs réguliers – va chercher à puiser dans ses réserves, il va – dès lors qu’il en aura l’occasion – reconstituer les réserves (et il aura même un réflexe de stockage des graisses totalement contre-productif dans un objectif de maintien ou de perte de poids). Résultat : vous ne perdrez pas du poids ainsi.

D’autre part, en sautant des repas, vous risquez à l’inverse d’être fatigué et d’avoir globalement une alimentation moins équilibrée.

Bref, ce n’est pas en réduisant le nombre de repas que vous perdrez du poids, au contraire !

Ainsi, essayez de toujours prendre un petit déjeuner, et optez plutôt pour un rythme de 5 repas quotidiens.

Idée reçue nutrition #5 : le citron acidifie le corps

FAUX. L’acidité en bouche du citron peut mettre sur la mauvaise voie. Et pourtant, le citron est bel et bien un aliment alcalinisant. Intéressant quand on sait que nos modes de vie ont tendance à acidifier l’organisme.

Le citron est ainsi idéal à intégrer dans une optique de recherche d’équilibre acido-basique pour son organisme.