5 astuces pour ne jamais s’ennuyer sur un tapis de course

5 astuces pour ne jamais s’ennuyer sur un tapis de course

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Peur de vous ennuyer sur un tapis de course

5 astuces pour ne jamais s’ennuyer sur un tapis de course. Vous songez à courir sur un tapis de course ? Vous êtes plein d’enthousiasme à l’idée de vous mesurer à vous-même. De rattraper votre retard sur vos séries télévisées tout en faisant votre jogging ? Ou vous vous pétrifiez à l’idée que le temps s’arrête sur le tapis. Que votre course vous apparaisse comme une véritable punition ?

La question du tapis de course est en général assez tranchée. On aime ou on déteste. Mais avec la baisse des températures et la nuit qui pointe son nez plus tôt, le choix est très réduit : le tapis de course ou le froid dehors (notez que vous pouvez faire ce choix.

En hiver, il n’est pas rare qu’on prenne du poids. Alors voici quelques conseils qui donneront de la vie à votre jogging sur tapis pendant la période hivernale. Ce qui vous éviteront de remiser vos chaussures de running jusqu’au printemps.

1. Variez le relief en ajustant la pente

Si vous avez la chance de courir sur un tapis récent qui permet de régler la pente. Amusez-vous en programmant une course qui vous mettra au défi.

Adepte des fortes pentes ou douces collines, il est facile de briser la monotonie d’une course sur du plat en utilisant le bouton d’inclinaison. C’est vous qui avez le contrôle. Alors si la pente vous semble trop forte, il vous suffit de la réduire légèrement. Vous ne pouvez pas en dire autant d’une course en plein air.

2. Programmez votre playlist musicale à l’avance

La musique est une excellente source de motivation, en particulier quand il s’agit de sport et de performances physiques.

Le gros avantage des technologies modernes, c’est qu’il est possible de créer des playlists complètes avec tous vos morceaux préférés. Prenez le temps de choisir les musiques et chansons qui vous donnent le sourire. Trouvez la chanson qui vous donne envie de danser. Elle saura vous insuffler la motivation nécessaire pour intensifier un peu votre entraînement et accélérer la cadence.

3. Le fractionné ou comment ne pas s’ennuyer sur un tapis de course

Les entraînements fractionnés présentent de nombreux avantages. Ils vous évitent de vous ennuyer et vous poussent à vous dépasser pour brûler plus de calories sur un temps plus court. Vous pouvez par exemple courir à une intensité de 7/10 pendant 45 secondes, puis marcher ou courir à une intensité de 3/10 pendant 30 secondes. Ce type d’entraînement maintenu sur 30 à 45 minutes peut améliorer votre condition cardiovasculaire et votre endurance.

4. Profitez des multiples fonctionnalités

Si vous préférez courir à un rythme régulier sans modifier la pente ni la vitesse, pourquoi ne pas occuper votre esprit grâce aux nombreuses fonctionnalités du tapis ?

Les tapis modernes sont équipés de capteurs de rythme cardiaque et sont capables de calculer le nombre de calories brûlées. C’est le moment de vous lancer des défis ! Essayez de conserver un rythme cardiaque dans une tranche définie et devinez le nombre de calories brûlées toutes les deux minutes. Vous pouvez aussi sélectionner un programme de course prédéfini et laisser vos pensées s’occuper des défis que la vie vous lance. Il vaut toujours mieux réfléchir au problème en courant qu’en essayant de trouver le sommeil.

5. Décomposez

Définissez quelques objectifs avant de commencer votre course et n’ayez pas peur de décomposer en plusieurs étapes.

Ne vous lancez pas sur le tapis sans objectif. Vous risquez fortement de baisser les bras si vous n’avez rien prévu. Si vous cherchez à courir 5 km, mais que vous vous ennuyez déjà au bout de deux, alors assumez et faites une pause. Vous ne renoncez pas à votre objectif de courir 5 km, vous décomposez les étapes et vous vous reconcentrez. Par exemple, descendez du tapis et faites quelques exercices légers de résistance ou quelques abdominaux, puis remettez-vous à courir. Ce qui compte, c’est de vous y remettre.

Si vous vous sentez l’âme d’un aventurier du froid, la plupart des salles de sport proposent des séances avec un instructeur qui vous aidera à intégrer course et exercices de lever de poids. L’ambiance du groupe est stimulante et peut vous motiver.

Gardez le cap

L’avantage du tapis de course, c’est qu’il est facile de surveiller la distance parcourue et votre temps sans les variables dues au terrain et à la météo changeante qui peuvent vous ralentir. N’oubliez pas, adoptez le rythme qui vous convient. Aller toujours plus loin est très tentant, c’est sûr, surtout si la personne qui court à côté de vous dévore les kilomètres. Mais sachez que vous pouvez vous blesser si vous poussez trop votre corps. Il vaut mieux être prudent et ne pas se blesser. Après tout, qui vous dit que votre voisin de tapis n’est pas un ancien sprinter ?

Dans tous les cas, le tapis de course est un outil qui vous aidera à entretenir votre forme et tenir vos objectifs. Mais si vous vous lassez de votre tapis de course, cassez la routine et sortez. Le vent dans vos cheveux et le sol sous vos pieds vous rappelleront pourquoi vous aimez courir. Et si cela ne suffisait pas, la neige, la pluie et le vent de l’hiver pourraient bien raviver votre amour du tapis de course.

Source : Article rédigé par Samantha Clayton. Samantha est directrice du département Fitness Education d’Herbalife.

Running Pourquoi et comment courir en hiver

Running Pourquoi et comment courir en hiver

Runners running in winter snow with city skyline background. Healthy multiracial young couple. Asian woman runner and Caucasian man running with Montreal skyline, Quebec, Canada

Soyez motivé pour courir

Running Pourquoi et comment courir en hiver

Running  pourquoi et comment courir en hiver. Le temps est incertain (il va peut-être pleuvoir…), les températures sont basses, les jours sont courts : pas de doute, nous sommes en hiver. Mais pourquoi se priver de courir en cette saison ?

Pourquoi courir en hiver ?

Courir par temps froid et/ou humide ? Les arguments ne manquent pas !

C’est l’occasion de sortir et d’admirer la nature qui a aussi son charme en hiver. Pour les citadins, c’est aussi l’opportunité de voir la ville différemment, avec ses éclairages ! En tout cas, une sortie est toujours bonne pour le moral !

Pour ceux qui privilégient en général les salles de sport dès lors que l’automne s’installe, aller courir en extérieur est le prétexte idéal pour casser la routine, et donc renforcer ses entraînements. Pour les aventureux, c’est le moment de tester de nouvelles sensations et de s’amuser – avec prudence – sur des chemins boueux ou dans la neige.

S’il est vrai que les sorties sont souvent plus difficiles pour le corps, dites-vous que plus vous serez performant lors de la saison hivernale, plus vous serez à votre aise lorsque les beaux jours reviendront !

Comment s’équiper pour courir en hiver ?

Un équipement adapté aux conditions climatiques

On l’a dit, en hiver, il fait plus froid et il peut pleuvoir : les tenues (vêtements et chaussures) doivent bien vous couvrir et être imperméables. Pensez notamment à mettre une écharpe, des gants, des chaussettes plus épaisses et un bonnet. En fait, la tête, les mains et les pieds doivent être parfaitement protégés. Au niveau des couches de vêtements, fiez-vous à la température qu’il fera le jour de votre sortie et aux caractéristiques de vos vêtements (plus ou moins chauds selon les modèles) pour vous assurer d’être suffisamment couvert, mais pas trop ! On recommande en général 3 couches : la première est comme une seconde peau, la deuxième est un vêtement isolant et la troisième protège contre les éléments.

Des chaussures adaptées au terrain

En hiver, les sols sont plus souvent humides et gras : pensez à choisir des chaussures adaptées à des sols moins stables !

Voir et être vu

Pour la sécurité, il est également primordial de voir et d’être vu : une torche frontale est essentielle dès lors que l’on court hors des zones éclairées et dès que la luminosité baisse. Privilégiez les vêtements avec des bandes réfléchissantes de manière à être bien visible des autres usagers de la route. Vous pouvez aussi opter pour vêtements ou des brassards équipés de Led.

Des sorties adaptées

En hiver, soyez en général raisonnables dans vos objectifs : c’est rarement la saison des records. Faire du running en hiver permet de garder la forme, de maintenir votre niveau en la matière. Privilégiez des sessions pas trop longues et préparez vos sorties avec soin (sera-t-il éclairé ? quelles seront les conditions météorologiques ?). Ne visez pas des allures trop élevées et travaillez plus le fond. Prenez également, encore plus qu’en été, le temps de vous échauffer afin de limiter les risques de blessure.

Côté alimentation et hydratation, ne soyez pas négligent : votre corps aura besoin de plus d’énergie qu’à l’habitude (pour courir et lutter contre le froid), et respirer par temps froid accélère la déshydratation (buvez donc régulièrement lors de vos sorties) !

Alors, prêt pour faire une session running en plein hiver ?

Source : Herbalife

Et si vous faisiez un Triathlon

Et si vous faisiez un Triathlon

C’est un fait : le triathlon a de plus en plus la cote ! Pour se tester, passer un moment sportif entre amis ou encore dépasser ses limites, le triathlon est un sport complet qui s’adresse aux sportifs ayant déjà un certain niveau dans les trois disciplines (natation, cyclisme, running) et une bonne endurance.

 Qu’est-ce que le triathlon?

Le triathlon est un sport olympique apparut dans les années 1970. Il combine trois disciplines d’endurance dans une même épreuve dans cet ordre : natation, cyclisme puis course à pied. La distance parcourue sur les trois disciplines varie entre 12 kilomètres pour un triathlon découverte à 226 kilomètres pour les triathlons extrêmes, aussi connus sous le nom d’Iron Man.

 Quelques conseils pour bien préparer son triathlon !

La Natation

L’épreuve de natation en triathlon se fait généralement en eau vive (lac, étangs, mer…). Il faut notamment prendre en compte la composante « foule » lors des départs de ce genre de course. Prévoyez une combinaison confortable mais vous protégeant du froid, et des lunettes bien ajustées au cas où elles prendraient des coups.

Pensez aussi à l’après ! Mémorisez bien l’emplacement de vos affaires pour ne pas perdre de temps à la sortie de l’eau (baskets, chaussettes, vélo).

On peut être bon en running, en cyclisme et en natation, et ne pas réussir un triathlon. Deux des paramètres à ne pas négliger, ce sont les transitions entre les disciplines ( Ces transitions sont comptées dans le temps de course total et peuvent tout à fait pénaliser un athlète mal préparé. ) ainsi que l’alimentation. Robin Pasteur, sorti de l’eau premier lors du triathlon de Gérardmer en première position, témoigne de l’importance d’une bonne alimentation lors de la préparation de cette épreuve :

« Je consomme les produits Herbalife depuis maintenant deux ans, essentiellement les produits de la gamme Herbalife 24 pour ma préparation en triathlon. Au quotidien, j’utilise le petit déjeuner vitalité et les deux compléments alimentaires Herbalifeline (riches en Omega 3) et Roseguard. Ma rencontre avec une équipe de Membres Herbalife passionnés et compétents a été déterminante dans ma gestion sportive.

C’est devenu incontournable suite à mon passage sur les formats longue distance et Ironman. C’est à l’occasion du triathlon de Royan que j’ai rencontré Patrice et Anne-Marie Blouzat avec qui j’ai échangé sur mon alimentation sportive et quotidienne et qui m’ont fait tester un produit de la gamme Herbalife 24. Après deux semaines d’essais sur ce produit, Patrice m’a fait un bilan nutritionnel complet avec impédancemétrie et m’a conseillé pour la préparation à l’Ironman d’Embrun. »

Le Cyclisme

À ce stade de la course, il est grand temps de vous hydrater pour pouvoir assurer dans la durée (à relire, nos conseils pour réussir une course longue durée). En vélo, prenez quelques gorgées toutes les 10 minutes.

Au-delà de l’hydratation, une bonne préparation physique et alimentaire avant l’épreuve est indispensable.

La course

La transition entre la course et le vélo est connue comme étant la plus difficile. N’hésitez pas à vous entrainer plusieurs fois à cet exercice avant le jour J. Pourquoi pas de temps en temps après vos sessions #irunherbalife par exemple ?

Prévoyez de bonnes chaussures, dans lesquelles vous êtes bien, avec ou sans chaussettes (suivant ce que vous choisissez de mettre après la natation). Sur des courtes distances, certains courent même pieds nus ! 

Mais n’oubliez pas : hydratez-vous, vous éviterez bien des crampes ! 

Alors, le triathlon, ça vous tente ?

Herbalife est partenaire du triathlon de Gerardmer depuis 11 éditions. cette année, 52 athlètes portaient nos couleurs ! Retrouvez une vidéo du triathlon de Gérardmer sur notre page Facebook !

Source : Herbalife

Running réussissez votre première course

Running réussissez votre première course

Fit people running race in park on a sunny day

Préparation, matériel, alimentation

Running réussissez votre première course

Running réussissez votre première course. Vous vous êtes inscrit pour votre première course de running : bravo ! Mais comment faire pour la réussir ?

Côté préparation

En amont de votre course, il faudra vous préparer. L’entraînement devra être optimisé en fonction de la distance à laquelle vous vous êtes inscrit et de votre objectif temps (par exemple, nous vous proposons un programme de 5 semaines pour courir 5 km). Notre page I run Herbalife contient également un programme intégral d’entraînement.

Au début de la semaine qui précède, faites une sortie à l’allure que vous souhaitez tenir le jour de votre course. Pas la peine de courir aussi longtemps que le jour J : l’important est d’évaluer vos sensations et de « rappeler » à votre corps à quelle vitesse il devra courir. Inutile, par ailleurs, de courir dans les 2-3 jours qui précèdent la course : ne vous fatiguez pas et gardez votre énergie !

Repérez le parcours. Vous ne serez pas forcément en mesure de faire une reconnaissance in situ, mais vous pourrez sans aucun doute trouver l’itinéraire en ligne avec indication du dénivelé et des difficultés (notamment pour les trails ou les trails urbains). Vous pourrez ainsi vous préparer mentalement et anticiper les complications. Mieux vaut savoir ce qui vous attend, cela vous évitera d’être surpris et vous permettra de doser votre effort.

Côté matériel

Que vous fassiez des courses ou seulement des sorties plaisir, il est important d’être bien équipé.

Ceci commence par les chaussures, achat essentiel pour le runner. Pour le jour de la course, utilisez les mêmes chaussures qu’à l’entraînement : ce n’est pas le moment d’étrenner une nouvelle paire en risquant des ampoules et surtout de ne pas vous sentir aussi à l’aise qu’à l’habitude.

Quant à la tenue, consultez la météo pour savoir comment vous habillez. Comme pour les chaussures, vous utiliserez une tenue déjà portée qui sera souvent un short et un t-shirt en tissu technique à même d’évacuer la sueur (sauf à ce que vous courriez dans des conditions particulières : froid marqué, nuit, neige, etc.). Un coupe-vent léger pourra être utile en cas de forte pluie.

En fonction de la distance, vous pourrez opter pour une ceinture ou une sangle sur laquelle vous disposerez votre eau ou votre boisson de l’effort, ou pour un sac à dos (pour les distances plus longues) ; à moins que vous ne préféreriez les ravitaillements proposés par les organisateurs. Jusqu’à 10 km, la majorité des coureurs arrivera à faire sans ravitaillement sauf en boisson dès que les températures augmentent.

Côté alimentation

Dans la semaine qui précède la course, veillez à bien vous alimenter en apportant, particulièrement dans les derniers jours avant la course, des sucres lents à votre organisme. Des produits complémentaires vous aideront à renforcer votre organisme (comme en témoigne Greg Runner sur les produits Herbalife).

Comme nous vous l’avons expliqué dans notre article « Comment s’alimenter avant une course ? », prévoyez un délai suffisant entre le dernier repas et votre course afin d’avoir fini votre digestion.

Le jour J

Arrivez en avance, notamment si vous n’avez pas retiré votre dossard auprès de l’organisation. Prévoir de se rendre sur la zone de départ environ une heure avant le départ permet de ne pas stresser (surtout si vous savez que vous êtes sujet au stress lorsque vous faites face à un imprévu) en cas de trajet plus long dans les transports, et de repérer votre sas en toute tranquillité.

Vous pourrez y procéder à votre échauffement en stimulant en douceur vos muscles. D’ailleurs, rejoindre votre sas à pied (en courant un quart d’heure) est souvent un échauffement suffisant. Veillez à ce que vos muscles restent chauds si les températures sont assez basses.

C’est parti !

Le départ a été lancé : profitez de votre course et du cadre dans lequel elle se déroule ! Soyez attentif à vos sensations afin de bien doser et d’adapter votre effort (attention au piège de partir trop vite !), et de ne pas risquer de déshydratation.

Et, une fois passée la ligne d’arrivée, bravo, pensez à récupérer notamment en vous hydratant !

 

Source : Herbalife

Comment s’alimenter avant une course

Comment s’alimenter avant une course

Comment s’alimenter avant une course.  Vous allez bientôt vous élancer pour une course ? Votre préparation à votre course ! Plus largement votre hygiène de vie doivent vous faire manger de manière équilibrée tout au long de l’année. Ainsi votre alimentation quotidienne doit vous apporter les aliments essentiels pour la pratique de sports d’endurance. C’est l’un des points essentiels d’une bonne alimentation avant une course. Bien sûr, ensuite, il faut faire particulièrement aux repas de la veille et du matin de la course de running.

La veille de la course

La veille d’une course, prenez soin de manger léger en limitant les aliments trop gras comme la mayonnaise, les fritures, etc.  Surtout en évitant les aliments peu digestes comme les fibres, les légumes secs et en mangeant sans excès . Ce n’est pas le moment de passer une mauvaise nuit pour cause de digestion difficile !

Ainsi vous pouvez associer une soupe de légumes, une viande ou un poisson maigre.  (poulet, jambon, lapin, merlu, etc.) Avec des glucides lents (riz, pâtes, semoule, etc.) Pour finir, une compote. La veille de certaines courses sont organisées des « pasta-party ».  C’est une bonne manière conviviale de s’alimenter, à condition de ne pas trop manger !

Buvez à volonté de l’eau, et pas d’alcool et respectez un délai d’une heure entre la fin du repas et le coucher !

Le jour de la course

Enfin le jour J. Le dernier repas  souvent un petit déjeuner  doit être pris au moins 3 heures avant le début de la course. Cela permet de s’élancer en ayant terminé sa digestion. (et  donc d’éviter les troubles digestifs qui entraîneraient une baisse de la performance)

Au cours de cette collation, s’il s’agit du premier repas de la journée. C’est ainsi qu’il est conseiller de prendre un petit déjeuner assez classique. (l’énergie requise pour la course viendra du repas de la veille) Si vous manquez d’appétit (ce qui peut arriver lorsqu’on se lève assez tôt, si votre course est assez tôt le matin). Pensez à prendre une barre aux protéines. Une nouvelle fois l’hydratation est capitale, et devra se poursuivre entre ce repas et le début de la course.

Pour sa part, le triathlète Franck Mathieu a par exemple pris la boisson de l’effort « CR7 Drive H24 et la Formula 1 Sport H24 au petit-déjeuner » avant le Triathlon de Gérardmer. « Il ne faut surtout pas changer ses habitudes alimentaires et continuer ce qui marche bien ! » témoigne cet utilisateur de produits Herbalife qui « commence toujours la journée avec un Shake de Formula 1 Herbalife en variant les goûts (chocolat, cookies & cream ou vanille). »

 

Source : Herbalife Nutrition

Nos conseils pour réussir vos courses longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Runners couple running on trail in cross country run outdoors training on Hawaii, Big Island for marathon or triathlon. Fit young fitness model man and asian woman training together outside.

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée. Que faut-il faire et éviter de faire avant une course de longue durée, comme un marathon ou un triathlon tel celui de Gérardmer ?

 L’entraînement c’est bien ; l’entraînement et la nutrition, c’est mieux. Les trois piliers vitaux sont l’alimentation, l’hydratation et le sommeil.

Nos conseils pour réussir vos course de longue durée. Avant la course

L’alimentation de tous les jours doit être diversifiée, variée et équilibrée.

La semaine qui précède la course, il s’agit d’optimiser l’hydratation et de maintenir les réserves énergétiques, en particulier glycogéniques.

Le petit déjeuner est indispensable pour l’équilibre énergétique de la journée. Un vrai petit déjeuner doit apporter au moins 20% de la ration calorique de la journée.

Pour réaliser une bonne performance, il faut :

  • garantir la formation de réserves énergétiques optimales (glycogène)
  • assurer un état correct au niveau musculaire et anticiper une bonne récupération
  • limiter les troubles digestifs : il faut bien choisir les aliments et les boissons
  • avoir une bonne hydratation: un marathonien doit boire entre 2,5 litres à 3 litres d’eau par jour, à augmenter en fonction des facteurs climatiques

De bons stocks en glycogène sont corrélés avec une bonne hydratation : 1g de glycogène est stocké avec 2.7g d’eau.

Le dernier repas avant le marathon

Il s’agit en général du petit déjeuner.

Il est primordial d’apporter des aliments digestes permettant de remonter les stocks de glycogène et de boire pour réhydrater l’organisme. Sa prise doit être réalisée 3 heures avant le départ. Le repas doit comprendre des aliments à index glycémique bas, et la prise régulière de boissons d’attente, en petite quantité (150 à 200ml, soit l’équivalent d’un verre d’eau).

Pendant la course

Pendant la course, Il s’agit donc pour le marathonien d’assurer un apport énergétique exogène pendant l’effort afin de :

  • maintenir les stocks de glycogène musculaire et hépatique
  • préserver une hydratation optimale et minimiser les pertes minérales
  • retarder l’apparition de la fatigue musculaire et nerveuse
  • diminuer les problèmes musculo-tendineux

La prise d’une boisson énergétique permet de se réhydrater et de limiter la baisse des stocks de sucres. Un minimum de 500ml par heure est à respecter. La boisson doit être isotonique ou hypotonique afin d’assurer une bonne hydratation et de minimiser les troubles digestifs.

Les barres et les gels énergétiques peuvent être envisagés en complément de la boisson de l’effort.

En course, prenez l’habitude de boire (4 à 5 gorgées) tous les 5 km. N’attendez pas d’avoir soif ou d’être fatigué. Souvenez-vous qu’il faut mieux prévenir la perte d’énergie et d’eau plutôt que d’essayer de la compenser plus tard.

Après une longue course

Dans la phase de récupération, il faut :

  • assurer la resynthèse des stocks de glycogène musculaire et hépatique
  • favoriser la reconstruction musculaire
  • éliminer les déchets,
  • reconstituer l’équilibre acido-basique.

Il est recommandé d’utiliser, le plus tôt possible, après la fin de l’effort, des boissons de récupération glucido-proteinées pour reconstituer les stocks de glycogène musculaire et hépatique et reconstruire les protéines musculaires lésées.

Pour lutter contre l’acidose, il est recommandé de consommer des boissons gazeuses.

Nos conseils pour réussir vos course de longue durée. Ce qu’il NE faut PAS faire pour une course de longue durée

Avant la course, il ne faut pas :

  • S’entraîner trop, sans tenir compte du plan d’entrainement décidé à l’avance
  • Ignorer les bases élémentaires d’une nutrition saine et équilibrée, en supprimant des nutriments indispensables
  • Décider de limiter son temps de sommeil
  • Ne pas s’hydrater correctement
  • Stresser

Pendant la course, évitez de :

  • Epuiser ses réserves énergétiques en partant trop vite
  • Ne pas réévaluer ses ambitions après le 30ème km (pour le marathon)
  • Ne pas s’hydrater correctement

Après la course, n’adoptez ces attitudes :

  • Négliger des douleurs musculo-tendineuse ou articulaires.
  • Ne pas se reposer
  • Ne pas reprendre en douceur, la course, après un arrêt de 6 à 8 semaines
Source : Article rédigé par Jacques Manic, diplômé de la faculté de médecine et membre du Comité International pour la Nutrition Herbalife.