Détox de printemps : comment la réussir ?

Détox de printemps : comment la réussir ?

Détox de printemps : comment la réussir ?

Détox de printemps : comment la réussir ? Le printemps est là. Et comme souvent à ce moment de l’année, on est souvent un peu plus fatigué que d’habitude. Pas de doute : une cure détox de printemps s’impose !

Pourquoi faire une détox de printemps ?

Alors que l’hiver se termine, notre organisme a accumulé des toxines. Notre système digestif et notre système lymphatique ont besoin d’être désencrassés afin de repartir du bon pied et booster le système immunitaire. L’objectif est tout simplement d’aller mieux et d’être en pleine forme. Plein de vitalité, après avoir évacué les toxines accumulées !

Voici ce que nous vous recommandons pour faire une détox de printemps si :

  • Vous êtes plus fatigué qu’à la normale
  • Etes plus sensible au stress
  • Vous attrapez plus facilement des petites infections
  • Cela se voit sur votre visage (cernes, boutons, teint terne…)
  • Vous avez du poids à perdre (entre les fêtes et la nourriture plus riche de l’hiver, un manque d’activités physique…) et avez un objectif minceur
  • Vous avez envie, tout simplement, de manger de manière plus saine

Quel organe nettoyer au printemps ?

Certains organes ont pour rôle d’éliminer les déchets produits par notre organisme et notre métabolisme. Au fil du temps, des toxines peuvent s’y accumuler et induire de la fatigue. Il va donc être temps de les nettoyer et de les purifier ! Mais comment nettoyer son foie au printemps ? S’il est important, ce n’est pas le seul concerné par les bénéfices de la détox, voici les principaux organes à détoxifier :

  • Le foie
  • Intestins
  • Les reins
  • Poumons
  • La peau

Comment nettoyer son corps au printemps ?

Les beaux jours sont la période idéale pour entreprendre des cures détox ! Et faire le grand ménage dans tout son corps, de la peau aux intestins.

Pour cela, rien de tel que de reprendre de bonnes habitudes avec une alimentation équilibrée. Les plantes peuvent aussi se révéler être des alliées de choix (comme le chardon-marie) pour une détox réussie et une fonction hépatique restaurée.

Comment préparer votre cure de printemps ?

Avant d’entrer dans votre phase de réelle détox, commencez à habituer votre organisme à un autre rythme.

Durant les 2 semaines qui précèdent votre cure :

  • Cuisinez au maximum maison et de saison (légumes et fruits notamment)
  • N’achetez pas des plats tout prêts, et évitez globalement les aliments trop riches en sucres (sodas, boissons alcoolisées…), en gras (charcuterie, fromages…) et en sel.
  • Essayez de dormir plus et de travailler moins (dans la mesure du possible bien entendu, mais l’idée est bien de « ralentir »).

Quels aliments sains prendre durant votre détox de printemps ?

Le citron, un allié de choix pour nettoyer le corps en douceur

Le citron stimule le foie et les organes du système digestif, tout en étant bon pour la peau.

Une excellente manière de consommer du citron est de boire un jus de citron le matin avec de l’eau chaude, dès le lever. Attendez ensuite une vingtaine de minutes avant de prendre votre petit déjeuner. Votre digestion vous dira merci !

Le kéfir de fruits pour restaurer le microbiote intestinal

Le kéfir de fruits est une boisson probiotique facile à réaliser soi-même et très efficace pour contribuer au bon fonctionnement du transit en restaurant les bonnes bactéries de votre microbiote intestinal.

1/2 à 1 verre par jour, le matin à jeun avant votre petit déjeuner suffit. Et en faisant vous-même votre propre recette, vous pourrez adapter le goût à vos envies : citron, fraise, kiwi …

Des légumes de printemps

Cuisinez des légumes de printemps : artichaut, épinard, cresson, endive, mâche, asperge, salade, céleri, chou blanc, chou frisé, chou rouge, chou-rave, oignon, poireau, salsifis…

Quelles recettes ? associez les légumes en fonction de vos goûts pour faire des soupes, des salades composées ou des poêlées !

Pensez également aux jus de légumes.

Des fruits pour faire le plein de vitamines

Les fruits aux beaux jours sont nombreux ! Au mois d’avril, vous trouverez : avocat, banane, citron, datte, fruits de la passion, kiwi, mandarine, mangue, orange sanguine, pamplemousse, papaye, pomme…

Des fruits secs

Sources de minéraux et de vitamines, les fruits secs s’ajoutent facilement à notre alimentation. La liste des fruits secs offre un grand choix : amande, cacahuète, châtaigne, datte, marron, noisette, noix, noix de cajou, noix de coco, noix de macadamia, noix de pécan, pignon de pin, pistache, pruneau, tamarin…

Ainsi, dans une poêlée ou une salade, ajoutez le fruit sec de votre choix. De même, réalisez un topping « fruit sec » sur vos soupes chaudes ou froides !

Recettes de boissons détox pour le printemps

Last but not least*, buvez beaucoup. En buvant en quantité, vous optimisez l’élimination des toxines.

Buvez de l’eau bien entendu, c’est le geste de base d’une bonne hydratation.

Faites-vous plaisir en préparant par exemple des eaux aromatisées détox.  Faire infuser fruits frais et plantes dans 1 litre d’eau, à boire frais toute la journée.

Si vous souhaitez varier les plaisirs, pensez :

Alors, prêt pour votre cure de détoxification ? N’hésitez pas à mener votre détox en groupe, vous n’en serez que plus motivé !

Vous pouvez également procéder à un jeûne intermittent si vous en ressentez le besoin pour dynamiser les effets de la cure.

Dites-nous tout, comment organisez-vous vos cures pour éliminer les toxines et faire du bien à votre organisme ?

*Enfin et surtout

couscous légumes gourmands

 couscous légumes gourmands

Coucous légumes gourmands

Coucous légumes gourmands. Légèrement épicé et agrémenté de légumes délicieux. Ce couscous prêt en 10 minutes est une excellente source de fibres et de protéines, l’idéal si vous manquez de temps mais pas d’envie.

Suivez notre recette étape par étape pour vous régaler avec cette recette végétarienne !

Le couscous est une spécialité culinaire issue de la cuisine berbère (Afrique du Nord). Traditionnellement à base de couscous, de légumes, d’épices, d’huile d’olive et de viande (rouge ou de volaille) ou de poisson. Il existe de très nombreuses variantes pour répondre aux goûts et attente de chacun (couscous royal, couscous barbouche…), avec des variations dans les viandes, les épices ou encore les légumes utilisés. Ainsi nous allons vous présenter une recette de couscous aux légumes (un plat végétarien donc) !

Notre recette simple, facile et rapide de couscous sans viande et sans couscoussier

Préparation : 10 minutes
Pour 2 personnes

Ingrédients pour faire un couscous légumes gourmands végétarien

  • 125 g de semoule à couscous
  • 250 ml d’eau bouillante
  • 1 cuillère à soupe de concentré de tomate
  • 1 cuillère à soupe de harissa
  • 15,25 g (2 cuillères) de Beta heart® saveur vanille
  • 26 g (2 cuillères) de Formula 1 Repas salé, saveur Champignons et fines herbes
  • 125 g de poivron rouge grillé, en lamelles ou en petits dés
  • 125 g de tomates cerises découpées en moitiés
  • 2 cuillères à soupe de menthe, persil ou coriandre ciselés
  • Le jus d’1⁄2 citron
  • 50 g de mozzarella allégée, en petits morceaux
  • 30 g de pistaches, torréfiées et hachées grossièrement
  • 2 cuillères à soupe de grains de grenade

Préparation d’un bon couscous gourmand végétarien maison ?

Voici les étapes pour réaliser un délicieux couscous végétarien.

Dans un saladier, versez les graines de couscous puis l’eau bouillante. Mélangez bien, couvrez et laissez gonfler pendant 5 minutes, jusqu’à ce que l’eau soit absorbée et le couscous tendre.

Incorporez le concentré de tomate et la harissa dans les graines de couscous avec Beta heart® et la Formula 1 Repas salé. Ajoutez les poivrons grillés, les tomates cerises. Les morceaux de mozzarella et presque la totalité des aromates (en conserver pour la présentation). Goûtez et ajoutez un peu de jus de citron au besoin.

Mettez les graines de couscous dans un saladier, déposez ensuite les pistaches, les grains de grenade et le reste des aromates ciselés. Vous allez vous régaler !

Valeurs nutritionnelles pour une portion de couscous (425 grammes)

Voici les valeurs nutritionnelles pour une portion de couscous :

Protéines : 25 grammes
Calories : 530 kcal
Fibres : 13 grammes
Matières grasses : 16 grammes
Graisses saturées : 3,6 grammes
Glucides : 64 grammes
Sucres : 16 grammes
Sel : 0,89 grammes

Bon appétit !

Cette recette est issue de notre dernier Livre de recettes Volume 2 : demandez-le 

Comment l’eau facilite la digestion ?

Comment l’eau facilite la digestion ?

Comment l’eau facilite la digestion ?

Comment l’eau facilite la digestion ? L’eau joue un rôle essentiel dans de nombreuses fonctions du corps, et notamment dans la digestion, dont elle favorise l’intégralité du processus.

Pourquoi boire de l’eau ?

Comme beaucoup, vous êtes certainement beaucoup plus attentif à votre digestion qu’auparavant. Ce regain d’intérêt pour la santé de l’appareil digestif a peut-être à voir avec les nombreuses recherches menées sur l’importance du micro-biote intestinal. C’est-à-dire l’ensemble des bactéries qui peuplent le tube digestif et qui affectent l’état de nombreux systèmes dans le corps.

Pour garder votre système digestif en forme, vous savez peut-être qu’il est important de consommer des probiotiques (les « bonnes » bactéries) ainsi que des prébiotiques (certains types de fibres qui servent à « nourrir » les probiotiques). et des fibres en quantités suffisantes (elles aident à faire passer les déchets dans le système et favorisent la régularité du transit).

Est-ce que l’eau favorise la digestion ?

En un mot : oui, l’eau favorise la digestion.

De fait, s’il y a une chose toute simple que vous pouvez faire pour assurer la bonne fonction de votre système digestif, c’est boire de l’eau. L’eau participe à pratiquement toutes les étapes du transit. Encore une bonne raison, comme le rappelle et l’explique l’expert Herbalife, de s’hydrater suffisamment pour rester en bonne santé.

Le rôle de l’eau au début de la digestion

Au tout début de la digestion, déjà, l’eau est un des éléments principaux de la salive. La salive a plusieurs fonctions. Elle permet d’humidifier les aliments qui sont alors plus faciles à mastiquer et à avaler. Elle contient également des enzymes qui entament le processus de dégradation chimique des lipides et des glucides lors de la mastication.

Les bienfaits de l’eau dans l’estomac

Lorsque les aliments passent dans l’estomac, les sucs gastriques sont libérés. Ces sucs contiennent également des enzymes qui commencent le travail de décomposition des protéines et des glucides présents dans les aliments. Vous mastiquez les aliments pour les transformer en petits morceaux et les préparer à leur passage dans l’intestin grêle, où le plus gros de la digestion est opéré.

Est-il conseillé de boire de l’eau en mangeant ?

Oubliez le mythe selon lequel le fait de boire de l’eau pendant les repas diluerait les sucs digestifs et les empêcherait de faire leur travail. C’est faux. Au contraire, boire de l’eau favorise le processus de digestion. Donc, là encore, oui : il est conseillé de boire de l’eau en mangeant.

L’eau permet également de produire le mucus qui nappe l’intérieur de l’estomac et qui le protège des sucs gastriques très acides.

L’importance de l’eau dans les intestins

L’eau facilite une grande partie de l’activité digestive lors du passage des aliments dans l’intestin grêle (transit intestinal). D’autres sécrétions liquides sont injectées dans l’intestin grêle par la paroi intestinale, le pancréas et le foie.

Les enzymes accélèrent les processus chimiques et participent à la préparation de l’absorption des produits finaux de la digestion . Les acides aminés des protéines, les acides gras des lipides et les molécules de sucre des glucides que nous mangeons. La majeure partie de l’absorption des nutriments se fait dans l’intestin grêle. Les nutriments digérés passent ensuite dans le système sanguin.

L’eau joue également un rôle très important dans le gros intestin, étape suivante de la digestion. Les fibres solubles ingérées (dans les aliments tels que les flocons d’avoine, les haricots et l’orge perlé) sont dissoutes dans l’eau. Elles gonflent alors et prennent du volume. Les fibres insolubles, quant à elles, se trouvent dans les aliments tels que les céréales complètes et la plupart des légumes. Elles attirent et piègent l’eau mais ne l’absorbent pas. Cette action permet de stimuler les mouvements réguliers du système digestif.

C’est dans l’intestin grêle que le corps puise la plupart des minéraux dans les aliments ingérés. L’environnement liquide facilite leur absorption.

Quelle eau pour la digestion : plate ou gazeuse ?

Pour une bonne digestion, vaut-il mieux vous tourner vers de l’eau plate ou vers de l’eau gazeuse ? Rappelons d’abord que l’essentiel est de vous hydrater en cours de repas, que ce soit de l’eau plate ou de l’eau à bulles.

Boire de l’eau pétillante contribue à l’hydratation de notre organisme, au même titre que l’eau plate. L’eau pétillante peut contribuer à améliorer certains troubles digestifs comme les nausées ou les troubles digestifs, mais elle peut aussi provoquer une sensation de ballonnement : tout dépend de comment l’organisme de chacun l’apprécie. Dans ce cas, il est plutôt recommandé de prendre un verre d’eau gazeuse à la fin du repas.

Au final, l’essentiel reste bien de boire de l’eau : choisir entre eau plate et eau gazeuse est d’abord une question de préférence propre à chacune et chacun !

Notre complément alimentaire pour une nutrition nocturne Niteworks peut se consommer tant avec de l’eau plate que de l’eau gazeuse

Faut-il boire en mangeant ?

En résumé : la fonction digestive dépend du choix des fibres que nous consommons, cela ne fait aucun doute. Les pro-biotiques sont également à privilégier. L’activité physique joue également son rôle. Lorsque vous bougez, les muscles profonds stimulent les muscles du tube digestif, ce qui favorise la régularité de votre transit. Mais n’oubliez pas que votre action la plus simple et la plus essentielle consiste à veiller à boire beaucoup chaque jour pour assurer la régularité de votre système de digestion.

Laissez-moi vous aider à atteindre vos objectifs :

En bénéficiant d’un suivi avec un distributeur indépendant, vous avez plus de chance d’atteindre vos objectifs. Vous souhaitez un soutien personnalisé gratuit , contactez-moi

 

Source : Susan Bowerman, Directrice et Responsable de la formation mondiale en Nutrition pour Herbalife

Comment éviter de manger quand on est stressé ?

Comment éviter de manger quand on est stressé ? 

Comment éviter de manger quand on est stressé ?

Comment éviter de manger quand on est stressé ? “Je mange trop à cause du stress” : que faire ? Comment ne plus compenser par la nourriture ? Découvrez nos réponses pour comprendre le phénomène et ne plus manger vos émotions !

En règle générale, l’alimentation liée au stress ne soulage pas du stress. Et si elle revient trop souvent, elle peut mener à une prise de poids. Voici quelques conseils pour mettre à bas cette habitude.

Pourquoi je mange quand je suis stressé ?

Nous sommes tous plus ou moins concernés par le grignotage émotionnel (ou faim émotionnelle, ou grignotage compulsif). Qui ne s’est pas réconforté en mangeant une crème glacée après une journée stressante particulièrement difficile. Ou qui n’a jamais chipé quelques frites dans l’assiette d’un(e) ami(e) en lui racontant son dernier rendez-vous catastrophique ?

Mais il convient de se reprendre quand on commence à perdre le contrôle ! C’est-à-dire quand manger des aliments sucrés, salés et/ou gras devient la réponse la plus fréquente. Et la plus courante aux émotions et sentiments négatifs. Quand cela arrive de temps en temps, il convient d’être vigilant afin que l’augmentation de la consommation de ces aliments ne devienne pas une habitude.

En quoi consiste l’alimentation émotionnelle ?

On parle d’alimentation due au stress (ou « alimentation émotionnelle » ou « faim émotionnelle » ou encore « grignotage émotionnel« ) lorsque vous mangez pour échapper aux sentiments négatifs que vous vivez, dans l’espoir de vous sentir mieux. Il s’agit parfois d’une décision consciente. Mais le plus souvent, c’est une réponse non réfléchie à une émotion vague ou négative. Vous ne savez pas nécessairement ce qui vous dérange. Mais vous êtes convaincu(e) que manger viendra soigner ce qui vous fait souffrir.

S’agit-il d’une faim réelle ou émotionnelle ?

Certains signes peuvent vous aider à distinguer la faim émotionnelle, celle due à une situation ou à une période de stress, de la faim réelle/physique.

Le grignotage émotionnel est généralement soudain. Vous commencez à vous sentir stressé(e) ou tendu(e), et une seconde plus tard, vous avez une envie de chips. La faim physique, elle, apparaît progressivement. Vous commencez à ressentir la faim mais vous pouvez attendre avant de manger, ce qui vous donne le temps de choisir des ingrédients équilibrés pour la satisfaire.

Lorsque le niveau de stress s’élève, il peut provoquer des envies de sucré, de gras et de calories. Et bien souvent c’est une envie bien précise (pas uniquement « du chocolat » mais « une part du gâteau au chocolat de la boulangerie du coin »). En revanche, lorsque vous avez réellement faim, tout aliment semble idéal (qu’il soit source de matières grasses ou non, sucré ou non, salé ou non). Vous êtes prêt(e) à envisager plusieurs options pour satisfaire votre faim physique. Vous risquez donc de faire des choix plus équilibrés.

Dès que votre faim physique est satisfaite et que votre estomac est plein !  C’est le signal qui indique que vous avez suffisamment mangé et vous avez tendance à vous arrêter. Mais lorsque les émotions sont aux commandes, il est facile d’ignorer ce que votre estomac vous dit. Et vous finissez par manger beaucoup trop en essayant de vous sentir mieux.

L’alimentation due au stress peut améliorer votre humeur de façon temporaire. Jusqu’à ce que la honte et la culpabilité fassent leur entrée, ce qui est très rapide. En revanche, lorsque vous terminez un repas qui a satisfait votre faim physique, vous ne ressentez aucune culpabilité d’avoir mangé.

Comment ne plus manger ses émotions ? Voici nos 5 astuces pour gérer les comportements alimentaires liés au stress

1. Tenir un journal de ce que vous mangez

Tenir un journal alimentaire est un premier bon moyen de prendre du recul en cas de stress. Il pourra en effet vous aider à définir ce qui déclenche votre grignotage émotionnel.

Dès que vous ressentez le besoin de manger, notez votre faim sur une échelle de 1 à 10.  (1 = je suis sur le point de m’évanouir tant j’ai faim ; 10 = j’ai tellement mangé que je dois déboutonner mon pantalon). Notez également votre ressenti à ce moment-là.

2. Être maître de ses émotions

Vous savez que vos émotions constituent le facteur déclencheur de votre alimentation compulsive. Alors pourquoi ne pas les reconnaître ? Vous avez parfaitement le droit d’être en colère, de vous sentir seul(e) ou de vous ennuyer. Ces sentiments peuvent être désagréables, mais ils ne représentent aucun danger. Et il n’est pas nécessaire de toujours les corriger.

3. Travailler sur sa capacité à gérer

À chaque fois que vous mangez en réponse au stress, c’est un rappel du fait que vous n’arrivez pas à gérer vos émotions. Lorsque le stress vous submerge, essayez de vous demander quelle serait la pire chose qui pourrait vous arriver si vous ne mangiez pas. Oui, il est possible que votre degré de stress augmente un peu, mais cette sensation ne va pas durer. Entraînez-vous à tolérer vos émotions ou à trouver d’autres moyens de gérer votre stress. Au besoin, buvez une verre d’eau.

4. Comment arrêter le grignotage compulsif (grignotage émotionnel) ?

Prenez quelques instants pour réfléchir à vos émotions et à la manière dont vous pourriez résoudre le problème. Dressez une liste de ce que vous pouvez faire plutôt que manger (marcher, écouter de la musique, méditer, appeler votre meilleur(e) ami(e), etc.).

Déshabituez-vous. Les mangeurs émotionnels renforcent en permanence l’idée selon laquelle le meilleur moyen de gérer les émotions négatives passe par la nourriture. Et comme toute mauvaise habitude, le grignotage émotionnel survient avant même que vous ayez commencé à y penser. Vous devez donc vous « déshabituer » et vous entraîner à remplacer la nourriture par autre chose quand vous êtes dans un mauvais jour.

5. Être patient et indulgent

Les personnes concernées par l’alimentation due au stress ont souvent peur d’aggraver la situation si l’envie de manger n’est pas satisfaite immédiatement. Mais dès lors qu’elles appliquent quelques tactiques pour repousser l’échéance, elles sont souvent surprises de constater que l’envie leur est passée. Plutôt que de répondre sans délai à vos envies ! Promettez-vous d’attendre quelques minutes pour laisser une chance à l’envie de passer.

Soyez indulgent(e) avec vous-même et donnez-vous le temps de travailler sur cette mauvaise habitude. Les comportements que l’on a ne peuvent changer du tout au tout du jour au lendemain.

Si vous constatez que ces tactiques ne fonctionnent pas sur vous ? Demandez à votre médecin si une consultation de conseil ou un groupe de soutien pourrait mieux vous convenir pour vous aider dans vos choix alimentaires et avoir une alimentation réfléchie.

Source : Susan Bowerman, Directrice Responsable de la formation en Nutrition pour Herbalife.

Comment bien manger quand on est pressé ?

Comment bien manger quand on est pressé ?

Comment bien manger quand on est pressé ?

Comment bien manger quand on est pressé ? Car on n’a pas toutes et tous le temps de bien manger, nous vous délivrons ses conseils pour y parvenir malgré tout !

En Europe et dans le reste du monde, nos habitudes alimentaires ne sont pas particulièrement encourageantes. La consommation de lipides en Europe est plus élevée qu’elle le devrait [1]. L’apport en lipides saturés atteint désormais des records [1, 2]. Le schéma se répète avec le sel. Dans certains pays l’apport moyen en sel est plus de trois fois supérieur aux quantités maximum recommandées [3].

En outre, nous ne consommons pas suffisamment de vitamines et minéraux [1]. Et notre apport en fibres dans de nombreux pays européens est trop faible [4]. On peut ajouter à cela le fait que seulement 12 % des adultes en Europe consomment les cinq portions de fruits et légumes recommandés par jour [5].

Bien sûr, ces données ne représentent pas le quotidien de chaque individu, mais c’est une réalité pour de nombreuses personnes. Plus de la moitié des adultes européens sont désormais en surpoids, dont 20 % souffrent d’obésité [6].

Quand on interroge les gens sur la qualité de leur alimentation, la majorité pense qu’il y a matière à amélioration [7]. Mais cela semble difficile à mettre en place. En effet la multiplication des schémas de travail irrégulier et des styles de vie débordés est associée à une diminution de la consommation des légumes et des repas faits maison [8]. En fait l’un des principaux obstacles à l’équilibre nutritionnel est le manque de temps [8].

Voici quelques astuces  pratiques qui vous feront gagner du temps dans la préparation de repas équilibrés. Pour limiter le risque d’une prise de poids non-désirée et pour que votre alimentation soit source de bien-être (et non de désagréments).

Planifiez vos repas pour la semaine pour manger sainement

Cela vous fera gagner du temps parce que vous n’aurez pas à réfléchir à ce que vous allez cuisiner chaque jour. Et vous ferez vos courses une fois par semaine seulement.

Vous pouvez également planifier vos repas à la semaine en tenant compte des multiples utilisations de vos ingrédients dans plusieurs plats. Vous gagnerez ainsi un temps considérable.

De cette planification de vos repas, découlera votre liste de courses.

Trouvez de l’inspiration avec le nouveau livre de recettes Herbalife.

Au début, cela vous semblera compliqué ! C’est le meilleur moyen pour commencer à vous préparer des repas équilibrés. Que vous mangiez chez vous ou que vous ameniez votre repas sur votre lieu de travail ou d’études. Avec le temps cela deviendra une habitude, et vous gagnerez du temps pendant la semaine. Et vous apprécierez cette astuce sur le long terme.

Faites volontairement des restes de vos repas pour manger équilibré

Lorsque vous cuisinez, préparer une portion supplémentaire que vous utiliserez dans un prochain repas. Ou pour le repas que vous emportez au bureau.

Par exemple, si vous cuisinez des pâtes pour le dîner, faites cuire une portion supplémentaire. Et transformez-la en une salade de pâtes facile à transporter pour votre déjeuner du lendemain. Pour cela rien de plus simple, il vous suffit d’ajouter quelques légumes découpés et une source de protéines maigres comme des œufs ou du poulet. Le tout arrosé d’un trait d’huile d’olive et d’herbes aromatiques.

Si vous préparez un plat au four à base de légumes. Ajoutez une portion supplémentaire de légumes que vous pourrez utiliser et dans une quiche ou une tarte. Il n’est pas utile d’utiliser vos restes immédiatement. Vous pouvez les congeler ces bons ingrédients pour les utiliser ultérieurement.

Bref, faites volontairement des restes de qualité pour vos futurs repas !

Bien se nourrir en n’ayant pas peur des aliments en conserve.

Le poisson et les légumes secs en boîte (haricots blancs, haricots rouges, fèves, poids secs, lentilles vertes…) constituent des alternatives très pratiques à leurs équivalents cuisinés maison. En revanche, n’oubliez pas que dans certains cas le liquide contenu dans la conserve peut contenir du sel ajouté.

Pensez à bien égoutter le produit d’abord. Si besoin, vous pouvez rincer le contenu avant de l’ajouter à vos préparations.

Apprendre à bien manger en consommant des fruits et légumes surgelés ou en conserve

Car les fruits et légumes surgelés ou en conserve comptent dans vos cinq portions journalières.

Il s’agit d’alternatives pratiques à leurs équivalents frais. Ainsi vous avez toujours des fruits ou des légumes à disposition pour faire le plein de vitamines. Préférez ceux sans sucre ni sel ajoutés . Et essayez d’équilibrer la quantité de fruits et légumes frais par rapport à ceux surgelés ou en conserve.

Gardez des en-cas équilibrés à portée de main

Certains en-cas équilibrés prennent autant de temps à préparer qu’il en faut pour attraper un en-cas prêt à consommer. Il suffit juste d’avoir les ingrédients à portée de main. Veillez à toujours avoir des en-cas prêts à consommer ou simples à préparer. Mais surtout équilibrés comme des fruits, des légumes, des barres aux protéines. Des noix ou encore des préparations en poudre pour Shake dans vos placards, votre réfrigérateur et au bureau.

Assurez-vous de disposer toujours d’ingrédients pour des plats équilibrés faciles à préparer pour une alimentation plus saine

Manger équilibré ne prend pas autant de temps que vous le pensez.

Beaucoup de salades composées peuvent être préparées en quelques minutes seulement. Surtout si vous adopter la technique des restes mentionnée plus haut. Ou si vous utilisez des légumes, des légumes secs ou du poisson en conserve.

Les sandwiches et les wraps sont également des options intéressantes si vous manquez de temps. Veillez par contre à y intégrer beaucoup de légumes en petits morceaux, du fromage allégé, des pois chiche ou une viande maigre. Et préférez le pain ou les galettes à base de blé complet comme source de sucres lents.

Pour parvenir à avoir des recettes équilibrées, veillez à avoir toujours chez vous (placard, réfrigérateur, congélateur) les ingrédients qu’il faut pour préparer des repas équilibrés rapides !

Essayez les substituts de repas

Même si vous ne cherchez pas à perdre du poids, les Shakes et les barres substituts de repas peuvent vous sauver la mise quand vous n’avez pas le temps de préparer un repas équilibré. Ils contiennent des nutriments essentiels. Notamment des protéines, des vitamines et minéraux, et sont prêts en quelques minutes seulement.

Références :
1 Rippin HL, et al. Apports nutritionnels chez les adultes, d’après les enquêtes nationales actuelles sur l’alimentation des populations européennes. Nutrients. 2017 Dec; 9(12): 1288.
2 Eilander A, et al. Apports et sources d’acides gras dans l’alimentation en Europe : Les apports actuels des populations en lipides sont-ils conformes aux recommandations nutritionnelles ? Eur J Lipid Sci Technol. 2015 Sep;117(9):1370-1377.
3 Organisation Mondiale de la Santé. Bureau régional pour l’Europe. Réduire la consommation de sel, 2014. (En ligne). Disponible à l’adresse suivante : http://www.euro.who.int/en/health-topics/disease-prevention/nutrition/news/news/2014/09/reducing-salt-consumption. [Accès le 28 juin 19]
4 Stephen AM, et al. Les fibres alimentaires en Europe : état actuel des connaissances sur les définitions, les sources, les recommandations, les apports et les liens avec la santé. Nutr Res Rev. 2017 Dec;30(2):149-190.
5 OCDE (2016), «La consommation des fruits et légumes chez les adultes» dans «Health at Glance : Europe 2016: État de la santé dans le cycle UE, OECD Publishing, Paris, https://doi.org/10.1787/health_glance_eur-2016-28-en.
6 Organisation Mondiale de la Santé. Bureau régional pour l’Europe. Infographie – Plus de 50 % de la population est en surpoids ou obèse (Télécharger), 2013. (En ligne). Disponible à l’adresse suivante : http://www.euro.who.int/en/health-topics/noncommunicable-diseases/obesity/data-and-statistics/infographic-over-50-of-people-are-overweight-or-obese-download [Accès le 28 juin 19]
7 Powell-Wiley TM, et al. Perception et qualité objective de l’alimentation chez les adultes aux États-Unis : analyse croisée de l’enquête sur l’examen de l’alimentation et de la santé nationale (NHANES). Public Health Nutr. 2014 Dec;17(12):2641-9.
8 Pinho MGM, et al. Explorer la relation entre les obstacles perçus à l’équilibre alimentaire et les comportements nutritionnels chez les adultes européens. Eur J Nutr. 2018 Aug;57(5):1761-1770.

Santé et bonheur sont ils liés ?

santé et bonheur sont ils liés ? 

Santé et bonheur sont-ils liés ?

Santé et bonheur sont ils liés ? Plus de 80 % des Français se disent heureux et en bonne santé. Le rapport d’Herbalife en 2023 analyse une enquête IPSOS et révèle de nombreux lien entre santé et bonheur.

Un corps et un esprit sains sont réellement les clés de notre bonheur général, selon une nouvelle étude menée par IPSOS pour Herbalife.

« Le rapport sur la santé et le bonheur », basé sur une enquête menée par IPSOS, a analysé l’alimentation des répondants. Leurs habitudes en termes d’activité physique. Leurs habitudes de sommeil et leurs niveaux de bonheur perçus, à travers l’Europe.

81 % des Français qui se considèrent heureux déclarant également se sentir en bonne santé.

Qu’est-ce qui favorise le bien-être ?

Selon que l’on soit plus jeune ou plus âgé, la réponse change

En France, les jeunes se perçoivent comme en bonne santé. Ce qui diminue ensuite parmi les générations plus âgées. En fait, 75 % des membres de la génération Z (la « Gen-Z » regroupe les personnes nées entre 1997 et 2010) se considéraient comme « plutôt en bonne santé » ou « en bonne santé ». Alors que seulement 58 % des baby-boomers (personnes nées entre 1943 et 1960) pensaient la même chose. Il est intéressant de relever que l’enquête a révélé que les habitudes en matière d’exercice changeaient à mesure que nous vieillissions. Les abonnements aux salles de sport diminuant considérablement par exemple.

Comment définir le bien-être ?

Qu’est-ce qui nous rend heureux ? La réponse varie selon les générations. À mesure que nous vieillissons, avoir « une meilleure santé » devient plus important . 31 % des baby-boomers citent cela comme la clé du bonheur, contre seulement 24 % de la génération Z.

Par ailleurs, « un changement dans mon apparence physique » (c’est-à-dire perdre du poids) a gagné en importance pour les jeunes. Cela pourrait suggérer que le public de la génération Z envisage le bien-être d’un point de vue purement esthétique. Passant peut-être à côté des avantages plus larges en matière de bien-être holistique qu’une vie plus saine peut apporter. Et qui ont tendance à devenir évidents plus tard dans la vie.

Comment bien manger pour être en bonne santé ?

Alimentation : les compléments plébiscités

L’utilisation de compléments nutritionnels suggère un changement dans la façon dont nous abordons le bien-être. En France, 60 % des personnes interrogées déclarent utiliser des compléments pour leur santé et leur bien-être en général. 45 % des 25 à 34 ans soulignent leur importance pour l’esprit et l’humeur. Ce qui suggère que nous considérons désormais les suppléments comme n’étant plus uniquement le domaine des accros du fitness.

Les résultats ont également mis en évidence un possible manque de sensibilisation chez les jeunes à la nécessité de « prévenir et protéger » à toutes les étapes de la vie. Les baby-boomers étaient plus susceptibles d’utiliser des compléments pour prévenir les maladies (64 %). Contre seulement 4 % des 18 à 24 ans.

Les habitudes alimentaires évoluent

Les habitudes alimentaires traditionnelles évoluent. Seulement 43 % des personnes interrogées estiment que manger les trois repas traditionnels par jour est la clé d’une alimentation saine et équilibrée. Cela suggère une évolution vers une alimentation plus fréquente tout au long de la journée mais en plus petites quantités. Notamment une consommation abondante de fruits et légumes, une hydratation et un bon équilibre de protéines, de glucides et de graisses.

Les données ont également révélé un manque de connaissances sur les aliments à base de plantes. Puisque seulement 17 % des personnes interrogées pensent qu’ils pourraient contribuer à une alimentation saine.

Nutrition : le dilemme du « snacking »

Les résultats ont également mis en évidence la nécessité deproposer des options de collations plus saines. Seule une personne sur dix (10 %) en France déclare adhérer à une alimentation saine et équilibrée. Tandis que 8 % déclarent ne le faire que rarement, voire jamais. En examinant pourquoi cela pourrait être le cas ! 47 % des répondants ont déclaré qu’il s’agissait d’envies sucrées et d’une consommation excessive de sucre. Ce qui est élevé par rapport au reste de l’Europe.

La communauté est importante

Un tiers (30 %) des Français font de l’exercice régulièrement (plus de trois fois par semaine), mais la manière dont ils pratiquent évolue. Alors que la pandémie a vu bon nombre d’entre nous faire de l’exercice seul. Après la COVID-19, on a assisté à une résurgence du « vivre-ensemble ». La « connexion » et la « communauté » étant citées comme faisant partie intégrante du bien-être.

Les résultats de l’étude confirment cette tendance . Avec 42 % déclarant qu’ils sont abonnés à une salle de sport parce qu’ils aiment être en groupe car cela les motive à avoir d’autres personnes autour d’eux. Tandis que 36 % aiment l’aspect communautaire.

Le rôle du sommeil

Lesommeil est devenu un élément crucial du bien-être. Quatre personnes sur dix (41 %)ont déclaré que le leur était « bon » ou « excellent ». Mais 17 % ont aussi déclaré qu’elles dormaient cinq heures ou moins par nuit. C’est légèrement supérieur à la moyenne européenne qui est de 16 %.

Commentant l’enquête et le rapport, Andrea Bertocco, scientifique de premier plan chez Herbalife et directeur des affaires scientifiques pour la région EMEA, commente :

« Le lien profond entre la santé physique et le bien-être mental, notamment le bonheur, était clair dans nos recherches ; cela souligne l’importance de donner la priorité à la santé et comment l’exercice, la nutrition, les suppléments, la réduction du stress et le sommeil contribuent collectivement au bien-être à long terme. Chez Herbalife, nous avons adopté une approche holistique de la santé et du bien-être depuis notre création il y a plus de 40 ans, grâce à une nutrition personnalisée, des plans de remise en forme et un réseau de communautés de soutien de nos distributeurs indépendants où la connexion et une motivation partagée ont donné de merveilleux résultats. »

Consultez le rapport complet sur la santé et le bonheur d’Herbalife ici (PDF en anglais)

Source : Herbalife Nutrition