Recette de petit déjeuner : Açaï Bowl

Recette de petit déjeuner : Açaï Bowl

Recette de petit déjeuner : Açaï Bowl

Recette de petit déjeuner : Açaï Bowl. Quoi de mieux pour bien démarrer la journée qu’un petit-déjeuner complet et gourmand ? Découvrez notre recette vitaminée d’Açaï bowl !

Du peps dès le réveil avec ce délicieux petit déjeuner ! CR7 Drive et Beta heart® s’associent pour vous apporter protéines, vitamines B12 et une bonne quantité de fibres.

C’est quoi un Açaï Bowl ?

L’Açaï (Euterpe oleracea) est un palmier originaire du nord de l’Amérique du Sud, aussi appelé wassaï ou pinot. Son fruit comestible a la forme d’une baie ronde de couleur violet foncé (proche des myrtilles), que l’on appelle baie d’Açaï ou Açaï tout simplement.

L’açaï : un fruit

L’utilisation de l’açaï dans l’alimentation est issue des traditions culinaires et médicinales des populations amazoniennes. D’ailleurs, « açaï » est un terme brésilien !

Ces fruits se dégradent rapidement après la récolte . C’est ainsi qu’on trouve plus facilement de la poudre d’açaï . (comme dans notre recette ci-après) obtenue après broyage et séchage à froid du fruit ou de la purée surgelée. Plutôt que le fruit sur les étals, dès lors que l’on s’éloigne des zones de production.

Quel est le goût de l’açaï ?

Le goût de l’Açaï se rapproche des fruits rouges et du chocolat.

Quels sont les bienfaits de l’Açaï ?

Les fruits de l’açaï sont relativement riches en protéines, en glucides et en matières grasses. On attribue à l’açaï des propriétés anti-oxydantesanti-inflammatoires et toniques. Propriétés qui lui ont valu le terme de superfruit (parmi les super-aliments).

Les fruits de l’açaï contiennent 52 % de glucides, 8 % de protéines et 32 % de matières grasses (dont des oméga-9 et des oméga-6). Les baies d’açaï sont une source de vitamine E, de vitamine C, de fibres alimentaires, de vitamine B1 et de fer.

L’Açaï Bowl

Les pratiquants de jujitsu brésilien seraient les inventeurs du « açaï bowl », à base de pulpe d’açaï et de banane. A l’image de ses inventeurs présumés, l’Açaï Bowl séduit les sportifs. En effet, ce plat, qui peut être consommé au petit déjeuner, est riche en protéines et tonifiant.

Notre recette d’Açaï Bowl à la banane et au yaourt

Voici notre préparation d’Açaï Bowl, parfaite pour le petit déjeuner, pour démarrer la journée du bon pied !

Ingrédients pour faire un Açaï Bowl

  • 250 g de yaourt grec 0%
  • 27 g (1 sachet ou 2 cuillères) de CR7 Drive, saveur Baies d’Açaï
  • 15,25 g (2 cuillères) de Beta heart® saveur vanille
  • 5 g de poudre d’açaï
  • 2 cuillères à soupe de flocons d’avoine, légèrement torréfiés dans une poêle sans matière grasse
  • 2 cuillères à soupe de chips de coco
  • banane découpée en rondelles
  • 6 fraises en lamelles ou 10 framboises

Préparation d’un Açaï Bowl

Versez le yaourt dans un saladier et incorporez CR7 Drive, Beta heart® et la poudre d’açaï. Mélangez bien les ingrédients.

Séparez le mélange dans 2 bols. Décorez avec les flocons d’avoine torréfiés, les chips de coco, les rondelles de banane, et votre poignée de fruits rouges (fraises ou framboises).

Valeurs nutritionnelles pour un Açaï Bowl

Voici les valeurs nutritionnelles pour une portion d’Açaï Bowl (258 grammes) :

Protéines : 17 grammes
Calories : 317 kcal
Fibres : 8,7 grammes
Matières grasses : 9 grammes
Graisses saturées : 5,9 grammes
Glucides : 37 grammes
Sucres : 25 grammes
Sel : 0,43 grammes

Bon appétit !

Cette recette est issue de notre dernier Livre de recettes Volume 2 : demandez-le contact

Comment se stabiliser après une perte de poids ?

Comment se stabiliser après une perte de poids ?

Comment se stabiliser après une perte de poids ?

Comment se stabiliser après une perte de poids ? Quel est le secret d’une stabilisation de poids réussie ? Alimentation et sport, nous vous donnons les clés pour ne pas reprendre de poids !

Après avoir réussi à perdre du poids, il est tout aussi important de maintenir cette perte sur le long terme. La stabilisation du poids est une phase cruciale du parcours vers un mode de vie sain et équilibré.  Voici quelques clés pour stabiliser votre poids après une perte de poids significative.

Stabilisation : une phase clé

Comment faire une phase de stabilisation ?

La phase de stabilisation après une perte de poids nécessite de la motivation et de la rigueur. Pour y parvenir, nous vous conseillons de :

  • Suivre régulièrement votre poids : Il est important de surveiller son poids de manière régulière pour détecter toute fluctuation dès le début. Retrouvez nos conseils pour savoir quand et comment bien vous peser.
  • Maintenir des habitudes alimentaires saines : Continuez à suivre une alimentation équilibrée riche en fruits, légumes, protéines maigres et grains entiers.
  • Éviter les comportements restrictifs : Évitez les régimes extrêmes ou restrictifs qui peuvent entraîner des cycles de perte et de reprise de poids (aussi appelés effet yo-yo)
  • Trouver un équilibre : Trouvez un équilibre entre manger suffisamment pour maintenir votre poids et éviter de trop manger.
  • Continuer à être actif : Maintenez une activité physique régulière pour brûler des calories et maintenir un métabolisme actif.

Comment maintenir son poids après une perte de poids ?

Pour maintenir son poids de forme après une perte de poids ! Il est essentiel d’adopter une alimentation équilibrée, mais aussi de maintenir ou mettre en place une activité physique régulière pour un corps tonique.

Comment faire pour ne pas reprendre les kilos perdus ?

Miser sur l’alimentation pour faire stagner son poids

Une alimentation saine est la base pour stabiliser son poids après une perte de poids. Choisissez des aliments riches en nutriments en équilibrant vos repas et collations. Avec des fruits frais, fruits oléagineux, légumes, et protéines maigres, et apprenez à écouter les signaux de satiété de votre corps pour savoir quand vous êtes rassasié.

Pour plus de facilité à vous y tenir et à maintenir le cap !  Planifiez vos repas à l’avance pour ne pas manquer d’idées au dernier moment et ainsi éviter les choix alimentaires impulsifs et malsains.

Limitez votre consommation d’aliments transformés.  Riches en sucres ajoutés et en graisses saturées, comme les fast-foods ou les plats préparés, qui peuvent compromettre vos efforts de stabilisation en vous faisant reprendre des kilos de façon insidieuse.

Cependant, dans la mesure où votre alimentation quotidienne est équilibrée. Ne culpabilisez pas de vous faire des petits plaisirs de temps en temps avec des aliments un peu plus caloriques.

Le sport, un allié de poids pour ne pas reprendre les kilos perdus

L’activité physique joue un rôle essentiel dans le maintien de la perte de poids. Pratiquer du sport ou faire de l’exercice régulièrement aide votre corps à brûler des calories supplémentaires. Ce qui peut vous aider à maintenir un équilibre énergétique.

Cela permet aussi de stimuler votre métabolisme, pour brûler des calories plus efficacement. Et avec un entrainement adapté peut vous permettre de construire et maintenir votre masse musculaire et augmenter votre métabolisme de repos.

Vous avez peut-être peur que le sport vous fasse prendre du poids ? Bien loin d’être une idée reçue, c’est une réalité dès lors que vous prendrez de la masse musculaire… Mais cela signifie que votre masse graisseuse diminue ! Ne vous fiez pas seulement aux chiffres sur la balance et n’hésitez pas à vous faire accompagner par un coach.

Combien de calories pour stabiliser son poids ?

Le nombre de calories nécessaires pour stabiliser son poids après une perte de poids dépend de plusieurs facteurs. Notamment le poids actuel, le niveau d’activité physique et le métabolisme individuel. En général, il est recommandé de consommer suffisamment de calories pour maintenir votre poids actuel.

Nous vous  proposons une large gamme de produits qui peuvent vous aider à contrôler vos apports caloriques, notamment des substituts de repas et des encas protéinés.

Découvrez aussi nos idées de repas et programmes adaptés en fonction du nombre de calories quotidiennes que vous vous fixez. Par exemple avec nos idées de menu pour 1500 calories par jour.

Quelle est la durée de la phase de stabilisation ?

La phase de stabilisation fait référence à la période qui suit la perte de poids initiale. Sa durée varie d’une personne à l’autre en fonction de plusieurs facteurs. Notamment les kilos perdus et le métabolisme propre à chacun. Il est recommandé de maintenir les habitudes saines acquises pendant la perte de poids pour assurer une stabilisation réussie sur le long terme.

L’objectif principal de la phase de stabilisation est de maintenir le poids atteint de manière durable. Cela implique des ajustements dans l’alimentation et l’activité physique pour éviter les reprises de poids et l’effet « yoyo », et atteindre un mode de vie sain et équilibré.

N’oubliez pas l’importance de la persévérance et du suivi régulier pour garantir votre succès à long terme.

Source : Herbalife Nutrition

Comment éviter de manger quand on est stressé ?

Comment éviter de manger quand on est stressé ? 

Comment éviter de manger quand on est stressé ?

Comment éviter de manger quand on est stressé ? “Je mange trop à cause du stress” : que faire ? Comment ne plus compenser par la nourriture ? Découvrez nos réponses pour comprendre le phénomène et ne plus manger vos émotions !

En règle générale, l’alimentation liée au stress ne soulage pas du stress. Et si elle revient trop souvent, elle peut mener à une prise de poids. Voici quelques conseils pour mettre à bas cette habitude.

Pourquoi je mange quand je suis stressé ?

Nous sommes tous plus ou moins concernés par le grignotage émotionnel (ou faim émotionnelle, ou grignotage compulsif). Qui ne s’est pas réconforté en mangeant une crème glacée après une journée stressante particulièrement difficile. Ou qui n’a jamais chipé quelques frites dans l’assiette d’un(e) ami(e) en lui racontant son dernier rendez-vous catastrophique ?

Mais il convient de se reprendre quand on commence à perdre le contrôle ! C’est-à-dire quand manger des aliments sucrés, salés et/ou gras devient la réponse la plus fréquente. Et la plus courante aux émotions et sentiments négatifs. Quand cela arrive de temps en temps, il convient d’être vigilant afin que l’augmentation de la consommation de ces aliments ne devienne pas une habitude.

En quoi consiste l’alimentation émotionnelle ?

On parle d’alimentation due au stress (ou « alimentation émotionnelle » ou « faim émotionnelle » ou encore « grignotage émotionnel« ) lorsque vous mangez pour échapper aux sentiments négatifs que vous vivez, dans l’espoir de vous sentir mieux. Il s’agit parfois d’une décision consciente. Mais le plus souvent, c’est une réponse non réfléchie à une émotion vague ou négative. Vous ne savez pas nécessairement ce qui vous dérange. Mais vous êtes convaincu(e) que manger viendra soigner ce qui vous fait souffrir.

S’agit-il d’une faim réelle ou émotionnelle ?

Certains signes peuvent vous aider à distinguer la faim émotionnelle, celle due à une situation ou à une période de stress, de la faim réelle/physique.

Le grignotage émotionnel est généralement soudain. Vous commencez à vous sentir stressé(e) ou tendu(e), et une seconde plus tard, vous avez une envie de chips. La faim physique, elle, apparaît progressivement. Vous commencez à ressentir la faim mais vous pouvez attendre avant de manger, ce qui vous donne le temps de choisir des ingrédients équilibrés pour la satisfaire.

Lorsque le niveau de stress s’élève, il peut provoquer des envies de sucré, de gras et de calories. Et bien souvent c’est une envie bien précise (pas uniquement « du chocolat » mais « une part du gâteau au chocolat de la boulangerie du coin »). En revanche, lorsque vous avez réellement faim, tout aliment semble idéal (qu’il soit source de matières grasses ou non, sucré ou non, salé ou non). Vous êtes prêt(e) à envisager plusieurs options pour satisfaire votre faim physique. Vous risquez donc de faire des choix plus équilibrés.

Dès que votre faim physique est satisfaite et que votre estomac est plein !  C’est le signal qui indique que vous avez suffisamment mangé et vous avez tendance à vous arrêter. Mais lorsque les émotions sont aux commandes, il est facile d’ignorer ce que votre estomac vous dit. Et vous finissez par manger beaucoup trop en essayant de vous sentir mieux.

L’alimentation due au stress peut améliorer votre humeur de façon temporaire. Jusqu’à ce que la honte et la culpabilité fassent leur entrée, ce qui est très rapide. En revanche, lorsque vous terminez un repas qui a satisfait votre faim physique, vous ne ressentez aucune culpabilité d’avoir mangé.

Comment ne plus manger ses émotions ? Voici nos 5 astuces pour gérer les comportements alimentaires liés au stress

1. Tenir un journal de ce que vous mangez

Tenir un journal alimentaire est un premier bon moyen de prendre du recul en cas de stress. Il pourra en effet vous aider à définir ce qui déclenche votre grignotage émotionnel.

Dès que vous ressentez le besoin de manger, notez votre faim sur une échelle de 1 à 10.  (1 = je suis sur le point de m’évanouir tant j’ai faim ; 10 = j’ai tellement mangé que je dois déboutonner mon pantalon). Notez également votre ressenti à ce moment-là.

2. Être maître de ses émotions

Vous savez que vos émotions constituent le facteur déclencheur de votre alimentation compulsive. Alors pourquoi ne pas les reconnaître ? Vous avez parfaitement le droit d’être en colère, de vous sentir seul(e) ou de vous ennuyer. Ces sentiments peuvent être désagréables, mais ils ne représentent aucun danger. Et il n’est pas nécessaire de toujours les corriger.

3. Travailler sur sa capacité à gérer

À chaque fois que vous mangez en réponse au stress, c’est un rappel du fait que vous n’arrivez pas à gérer vos émotions. Lorsque le stress vous submerge, essayez de vous demander quelle serait la pire chose qui pourrait vous arriver si vous ne mangiez pas. Oui, il est possible que votre degré de stress augmente un peu, mais cette sensation ne va pas durer. Entraînez-vous à tolérer vos émotions ou à trouver d’autres moyens de gérer votre stress. Au besoin, buvez une verre d’eau.

4. Comment arrêter le grignotage compulsif (grignotage émotionnel) ?

Prenez quelques instants pour réfléchir à vos émotions et à la manière dont vous pourriez résoudre le problème. Dressez une liste de ce que vous pouvez faire plutôt que manger (marcher, écouter de la musique, méditer, appeler votre meilleur(e) ami(e), etc.).

Déshabituez-vous. Les mangeurs émotionnels renforcent en permanence l’idée selon laquelle le meilleur moyen de gérer les émotions négatives passe par la nourriture. Et comme toute mauvaise habitude, le grignotage émotionnel survient avant même que vous ayez commencé à y penser. Vous devez donc vous « déshabituer » et vous entraîner à remplacer la nourriture par autre chose quand vous êtes dans un mauvais jour.

5. Être patient et indulgent

Les personnes concernées par l’alimentation due au stress ont souvent peur d’aggraver la situation si l’envie de manger n’est pas satisfaite immédiatement. Mais dès lors qu’elles appliquent quelques tactiques pour repousser l’échéance, elles sont souvent surprises de constater que l’envie leur est passée. Plutôt que de répondre sans délai à vos envies ! Promettez-vous d’attendre quelques minutes pour laisser une chance à l’envie de passer.

Soyez indulgent(e) avec vous-même et donnez-vous le temps de travailler sur cette mauvaise habitude. Les comportements que l’on a ne peuvent changer du tout au tout du jour au lendemain.

Si vous constatez que ces tactiques ne fonctionnent pas sur vous ? Demandez à votre médecin si une consultation de conseil ou un groupe de soutien pourrait mieux vous convenir pour vous aider dans vos choix alimentaires et avoir une alimentation réfléchie.

Source : Susan Bowerman, Directrice Responsable de la formation en Nutrition pour Herbalife.